Pause coévolutive : l’enfant en soi retrouver sa puissance
Une pause son et une réflexion sur la puissance de l’enfant en soi, retrouver son pouvoir en lien avec la petite enfance et la naissance.
Résumé sur l’enfant en soi
Plongez dans un voyage vibratoire pour libérer les mémoires enfouies de votre enfance. Cette soirée immersive vous guide pour :
Retrouver vos premiers souvenirs (même prénataux)
Transformer les traumatismes en sources de puissance
Utiliser les vibrations (tambour, voix) comme outils d’accès à l’inconscient
Réconcilier vulnérabilité et force authentique
Contenu :
1. L’enfant intérieur : un écho oublié
« Nous portons tous un enfant tapi en soi, parfois effrayé, rarement conscientisé. Remonter cet écho en conscience permet une pacification profonde – même si le processus peut déstabiliser. » Piste d’action : Et vous, quel est votre plus ancien souvenir d’enfance ?
2. Le corps, instrument de réminiscence
« Le tambour et les vibrations transcendent le mental pour accéder aux mémoires corporelles : insouciance, douleurs, ou moments d’impuissance. Paradoxalement, accepter cette impuissance restaure le pouvoir perdu. » Exercice proposé : Tapotements rythmés sur le thorax pour débloquer les sensations enfouies.
3. Tisser le fil des souvenirs
« Tirez le fil de votre mémoire sensorielle (odeurs, textures, sons) pour : Recontacter la force originelle
Accueillir les parts vulnérables
Lever les voiles des limites inconscientes »
Témoignages clés :
« Souvenir du berceau en osier à 1 an… »
« Sentiment d’enfermement dans la chambre d’enfant… » Comment intégrer ces mémoires ?
4. La vulnérabilité comme puissance
« Montrez vos fragilités pour incarner votre authenticité ! Lâcher les rôles sociaux permet : Une reconnexion à sa nature profonde
Une co-évolution collective par le partage »
Citation phare : « Arrêtez de jouer un rôle : soyez fort de montrer votre sensibilité ! »
Osez l’authenticité en cercle de parole énergétique
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2 Comments
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Je n’ai pas de souvenir avant mes 9-10 ans. Comme une porte fermée. J’ai une sensation d’interdit. Comme cet enfant à qui on dit que ce n’est pas bien de regarder par la serrure et que l’on puni de l’avoir fait. C’est là dans le haut de mon ventre et derrière ma tête.
J’ai un souvenir avec ma mère, avec qui la relation est compliquée encore aujourd’hui. En 2ch, les fenêtres fermées, pas de ceinture de sécurité, un brouillard de fumée de cigarette. J’étais secouée dans la voiture, par la conduite désinvolte de ma mère. Je la regarde rire et c’est bon ! Je ris aussi. Je suis joyeuse et je me sens chanceuse de la voir ainsi. Il y a aussi d’autres personnes avec nous mais je ne sais pas qui c’est. Une des rare fois où j’ai senti ma mère détendu et où je me sens détendu avec elle.
Ce souvenir me bouleverse. Je pleure. J’ai envie de rire. Je le sens dans ma gorge. Comme si ce rire je voulais le garder là. Il sort comme une toux !
La censure, l’auto-censure…
Et la libération…
Merci de ton partage