Coucouille à ceux qui passent par là
c'est "kif-kif" quand on "chemine", quand on se pose des questions... pas la peine d'aller voir quelqu'un qu'on "sent" pas...
Maintenant que je sais qu’on peut évoluer de façon agréable si on le décide, effectivement, je comprends le «pas la peine d’aller voir qqn qu’on « sent » pas »……mais je sais pas, y’a un truc qui me dérange dans cette phrase et je sais pas quoi ….mais bon, j’accueille mdr ;o)
Pour A. Desjardins, je comprends mieux ce qui a pu me gêner dans la première vidéo, merci
N'empêche, tu m'épates mille-patte... t'as l'air d'en connaître un rayon sur plein de trucs
C'est pour quand l'encyclopédie ? héhé
Il y a confusion dans nos psychés occidentales entre la soumission et l'humilité. Ceci du fait des rapports parents-enfants "tels qu'ils sont aujourd"hui" : on a ingéré énormément d'interdits et de contraintes dans notre expression... du coup on projette un imaginaire de soumission quand on place le mot "maître"... et on est légitimement "hérissé" d'entendre ce mot : ça résonne par rapport à un certain passé, qu'on "plaque" par-dessus...
Ceci explique cela
Oui, oui, là encore je comprends mieux pourquoi certains mots me font cet effet et assez souvent je dois dire, mais je pense que même en ayant compris ça maintenant, ça me fera toujours un ptit truc pas net quand même.
bref : des rapports parent-enfant contraignants, au niveau de l'expression de l'enfant, ce qu'il parait, son comportement, et en plus, bien souvent "inversés" (ça... je sais pas vous, mais moi la prise en charge des adultes, et dès tout petit... je connais bien!!!)
Ca me parle aussi « prise en charge des adultes »
Dans mon rapport à ma mère, j’en ai pris conscience assez jeune puis ça s’est confirmé à chaque nouvelle info que j’ai eu sur les événements de vie qui se sont déroulés pendant qu’elle était enceinte de moi et mes premiers mois de vie. Et puis par des ptites infos verbalisées par ci par là ; par le fait que c’est moi qui « consolait » ma mère et que tout ce qu’elle avait à lâcher, bien souvent c’était uniquement en ma présence… ça, ça a été vraiment dur mais bon maintenant, finit les pleurnichouilles (ou presque !!!), je prends les choses différemment
- Une éducation par la contrainte: de multiples devoirs et demandes "sur imposées": genre "fais pas ci fais pas ça"... "tiens toi bien, sinon tu vas faire honte à maman"... "soit gentil avec papa"... "prends soin de ta maman"... ou le même genre de choses mais sans mots...bref : des rapports parent-enfant contraignants, au niveau de l'expression de l'enfant, ce qu'il parait, son comportement, et en plus, bien souvent "inversés" (ça... je sais pas vous, mais moi la prise en charge des adultes, et dès tout petit... je connais bien!!!)
- Une éducation par la liberté: la liberté "d'être", accordée à l'enfant... par l'accueil et l'accompagnement de son cheminement, d'abord via beaucoup d'amour, et quelques "éclairages", "reconnaissances" et "renvois" à mesure de ses expériences dans la vie...
En tout cas j'ai vu que c'était pas évident d'être présent à un enfant quand on avait pas reçu cette présence enfant ... et c'était même impossible une bonne partie du temps!!!...
Merci pour ton petit topo sur l’éducation (les 2 opposées sur lesquelles on navigue en permanence ) et ta vision perso ; c’est éclairant et ça me renvoie aussi à un truc qui je pense est lié à l’éducation que j’ai eu d’une certaine façon ; en tous cas si c’est pas lié, ben ça m’a fait remonter un truc "ouahhh" que j’essaye de comprendre en ce moment sur ma façon de voir le rôle d’une mère, enfin le rôle de mère auquel j’aspire pour moi. Ca fait un moment que dans ma tête, je me dis (je vais essayer de traduire en mots…) « t’en que je ne serai pas au « top » dans mon évolution (j’entends par là, équilibrée, avoir la capacité d’élever mon enfant dans l’amour sans projeter sur lui toutes mes peurs, mes blessures etc ; être capable d’avoir ce rôle de mère auquel j’aspire ; être capable de donner la meilleure « éducation » possible –--au passage, j’utilise « éducation » parce que je ne vois pas d’autres mots mais ce terme« éduquer » ne vibre pas en moi… bon sang mais c'est bien sûr
je projette sûrement un imaginaire de soumission là
---donc pour reprendre, je me dis que t’en que je ne serai pas au « top » dans mon évolution, je ne me donne pas le droit de mettre un enfant au monde » ; j’entends ou je vois des gens qui « font » des enfants pour eux ou tout simplement parce que « c’est comme ça dans la société : on se met en couple, on achète une maison, on se marie et on fait des gosses » .... je ne généralise pas pour autant bien sûr mais avoir des enfants de cette façon n’a aucun sens pour moi ; je sais pas c’est comme si je voulais être au top pour ne pas « tomber dans le panneau » ; c’est comme si je préférais carrément ne pas avoir d’enfants plutôt que d’en avoir « pour moi » et donc pas pour eux. Ouais, je pense que cette exigence que je me donne vient en partie de mon éducation et du vécu que j'en ai surtout.
Enfin bref, je relèverai cette petite phrase
on ne fait toujours que ce qu’on peut
…à me répéter quand l’occasion se présentera mdr
Tout sera certainement bien plus simple que ce que je m’imagine ; y’aura qu’à mettre en pratique ce qui sonne juste pour moi !!! …(mdr, je me fais rire toute seule à me rassurer moi-même mdr pfff... n'importe quoi
)
Rhôôôôô putiiiiin, c'est long tout ça, faut vraiment que j'arrête de faire mon "boutdboa" là ahahah
allez bonne nuit, bye bye