ariam a écrit :et pourquoi vous parlez de la masturbation dans la rublique d'ancrage??
pour moi, la masturbation n'est qu'un détail physique... loin de l'ancrage, car l'ancrage est "un tout"...
Si on parle d'une masturbation "classique" qui ne concerne que les organes génitaux et notre imaginaire dans un côté assez mécanique, il est clair que cela n'a guère intérêt pour l'ancrage.
L'approche que je partage, qui à la base est juste un retour d'expérience à travers mon cheminement spontané, est effectivement plus dans une logique "globale", qui concerne tout notre rapport à notre corps et aux sens. L'ancrage est secondaire, conséquence d'un rapport au corps qui se développe mais en rien un but dans cette approche.
C'est une voie parmi d'autres, qui chez moi m'a permis, avec la danse, de retrouver un rapport au corps très différent, de réapprivoiser mon animalité et de sentir la puissance de mon corps, comme un socle à ma conscience.
Elle ne suffit clairement pas à résoudre toute la question de l'ancrage, reste que ça y participe et nous renvoie concrètement à notre rapport direct à notre corps (notre ancre?).
elementerre a écrit :pas besoin de se masturber pour s'ancrer, voir parfois c'est une manière de fuire.
anatonos a écrit :Le lien c'est qu'il est difficile de s'ancrer si on se masturbe trop... l'esprit !
Pour l'avoir aussi expérimenté, je confirme!
