Dalila a écrit :elementerre a écrit :se mettre au clair, ne met pas à l'abri de faire son chemin, y compris de suivre un chemin différent de la personne que l'on aime.
Pourquoi cette phrase me torture ?
Salut!
Une petite phrase qui dérange et remue en effet! Je me souviens aussi d'une vieille vidéo dans laquelle JP disait: "Une partie du chemin est solitaire? Oui, une partie du chemin est solitaire..."
En voici donc une autre du même acabit qui se rappelle encore à moi!
L'attachement n'est-il pas au fond le choix que l'on fait de porter plus d'intérêt à une personne particulière?
Car sinon, il semble possible d'aimer vraiment tout le monde, et ainsi de potentiellement s'attacher avec chacun ou presque, si l'on en faisait le choix!
La partie solitaire du chemin ne ramène-t-elle donc pas finalement à l'évidence, à savoir, comme le héros d'Into the Wild finit par l'écrire dans le drame de sa solitude introspective, que "le bonheur ne vaut que lorsqu'il est partagé" ?!
(pause méditation)...
L'autre peut-il admettre la nécessité, peut-être toute masculine (?), du besoin quasi cyclique d'un retour à une solitude qui forcément et paradoxalement amène à de nouvelles ouvertures à de nouveaux inconnu(e)s...
Qu'est-ce qui détermine alors le choix de revenir à "l'attachement précédent" (oui bon d'accord, c'est pas très romantique!)
Quelle est la part d'éthique, ou d'étiquette, dans les choix que voudrait imposer "l'amour"?
Quelque vieux reste d'une morale sociétale qui voudrait imposer la famille comme seul modèle valable?
...
Tiens?!
En quoi le modèle du "bon père de famille" pourrait-il nous enfermer dans un schéma sécuritaire, sédentaire et consumériste, et quels intérêts cela pourrait-il bien servir depuis si longtemps?
La Banque?
sans déconner!?
Bref je m'emballe, et pour conclure je pense que nous sommes tous des hippies frustrés par des règles morales qui répondent à la peur. Car rappelons nous également que bien que la Terre soit ronde, cela n'empêche pas les humains de baiser dans tous les coins!
[quote="Dalila"][quote="elementerre"]se mettre au clair, ne met pas à l'abri de faire son chemin, y compris de suivre un chemin différent de la personne que l'on aime.[/quote]
Pourquoi cette phrase me torture ? :?[/quote]
Salut!
Une petite phrase qui dérange et remue en effet! Je me souviens aussi d'une vieille vidéo dans laquelle JP disait: "Une partie du chemin est solitaire? Oui, une partie du chemin est solitaire..."
En voici donc une autre du même acabit qui se rappelle encore à moi!
L'attachement n'est-il pas au fond le choix que l'on fait de porter plus d'intérêt à une personne particulière?
Car sinon, il semble possible d'aimer vraiment tout le monde, et ainsi de potentiellement s'attacher avec chacun ou presque, si l'on en faisait le choix!
La partie solitaire du chemin ne ramène-t-elle donc pas finalement à l'évidence, à savoir, comme le héros d'Into the Wild finit par l'écrire dans le drame de sa solitude introspective, que "le bonheur ne vaut que lorsqu'il est partagé" ?!
(pause méditation)...
L'autre peut-il admettre la nécessité, peut-être toute masculine (?), du besoin quasi cyclique d'un retour à une solitude qui forcément et paradoxalement amène à de nouvelles ouvertures à de nouveaux inconnu(e)s...
Qu'est-ce qui détermine alors le choix de revenir à "l'attachement précédent" (oui bon d'accord, c'est pas très romantique!)
Quelle est la part d'éthique, ou d'étiquette, dans les choix que voudrait imposer "l'amour"?
Quelque vieux reste d'une morale sociétale qui voudrait imposer la famille comme seul modèle valable?
...
Tiens?!
En quoi le modèle du "bon père de famille" pourrait-il nous enfermer dans un schéma sécuritaire, sédentaire et consumériste, et quels intérêts cela pourrait-il bien servir depuis si longtemps?
La Banque? :shock: sans déconner!?
Bref je m'emballe, et pour conclure je pense que nous sommes tous des hippies frustrés par des règles morales qui répondent à la peur. Car rappelons nous également que bien que la Terre soit ronde, cela n'empêche pas les humains de baiser dans tous les coins!
:D
