Kervran transmutations biologiques. L à telecharger

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Étendre la vue Revue du sujet : Kervran transmutations biologiques. L à telecharger

Re: Kervran transmutations biologiques

par Corentin » mer. 22 juil. 2015 11:29

Je viens de finir le bouquin. Je suis étonné que la science n’aie pas étudié ça plus en détail et que des scientifiques écartent ce travail d’un revers de la main. D’un côté c’est vrai que c’est surprenant. Tout au long de ma formation, le noyau atomique a été décrit comme « indivisible » à part pour des cas précis (radioactivité et action de l’homme), de mon point de vue du moins.

Le fait que des enzymes arrivent à agir sur le noyau atomique m’étonne beaucoup mais les faits sont là. Remarque, à l’échelle du noyau on est en plein dans la physique quantique, du coup « tout est possible » statistiquement (enfin beaucoup de choses étonnantes et « pas logiques »). Les enzymes seraient ainsi des mini-scientifiques qui font de la physique quantique.

Cet ouvrage met en tout cas en lumière le fait que la science, comme n’importe quelle religion, plonge dans le dogme. Heureusement que quelques scientifiques courageux osent aller à contre-courant, mais à quel prix ?

Encore merci pour le partage et bonne journée :)

Re: Kervran transmutations biologiques

par Jean-Pierre Martinez » dim. 19 juil. 2015 23:39

Avec plaisir, bonne lecture

Re: Kervran transmutations biologiques

par Corentin » jeu. 16 juil. 2015 13:09

Merci beaucoup pour cet ouvrage. J'ai découvert le concept de transmutation sur ce forum. Du coup je me suis renseigné à droite à gauche et dans les publis scientifiques pour en savoir plus. Cet ouvrage devrait fournir des informations plus pratiques, peut-être^^ Un grand merci pour ce scan (sachant à quel point c'est pénible à faire^^).

Bonne journée^^

Re: Kervran transmutations biologiques

par bileg » dim. 27 nov. 2011 16:30

bonjour
j'ai 2 autre livre de Kervran, je vais essayer de les mettre en pdf pour vous les partager.
Les titres sont :
"Transmutations naturelles non radioactive"
et "Transmutations biologique"

Cordialement

Re: Kervran transmutations biologiques

par huduboi » mer. 16 mars 2011 14:22

très heureux de pouvoir enfin lire ce livre dont j'ai cherché longtemps un exemplaire un grand merci à la personne qui nous en donne l'accès

Re: Kervran transmutations biologiques

par Pierre73 » mar. 8 mars 2011 07:33

Salut,

Trois ans après l'ouverture de ce post, il fait encore des adepte...

Un grand merci pour ce livre qui est désormais introuvable, et pourtant tellement instructif.

Pierre

Re: Kervran transmutations biologiques

par capoverde » sam. 22 mai 2010 15:47

Oui, un grand merci de ma part aussi!

Il est difficile de trouver les oeuvres de C. L. Kervran à ce jour, malgré leur valeur. Il est bien clair que ce Rechercheur était bien trop intelligent et libre pour la "science" officielle... Vous lui rendez justice.

Re: Kervran transmutations biologiques

par amida » sam. 5 déc. 2009 09:48

PRODIGIEUX!!!
GRAND MERCI POUR TA GÉNÉROSITÉ!!!!!!!!!
Namasté!
amida

Extrait livre A la découverte des transmutations biologique

par Jean-Pierre Martinez » dim. 16 nov. 2008 07:15

Des pierres siliceuses de monuments se mettent à gonfler, et on s'aperçoit qu'il s'est formé une couche de gypse, qui finit par éclater, c'est ainsi que les sculptures de monuments s'en vont (mais assez souvent c'est du carbonate de
chaux qui se forme). L'explication classique est toujours la même ; le soufre du gypse (sulfate de calcium) vient de la terre, de l'air, des excréments des oiseaux, etc...) ; le calcium vient par migration, se concentre à la surface, car il y atoujours un peu de calcium dans la pierre, disait-on (sans l'avoir dosé).
L'inconvénient pour ce « raisonnement » est que des analyses précises ont montré que le calcium ainsi recueilli à la surface de la pierre (sous forme de sulfate ou de carbonate) représentait un poids nettement plus élevé que tout
ce que contenait la pierre non « malade ».On peut encore rappeler que les opérations de ravalement de la Cathédrale Notre-Dame de Paris ont été différées quand on s'aperçut qu'à la surface de la pierre, qui est un calcaire,
sous la couche noire apparente s'était formée une croûte siliceuse protégeant le reste de la pierre. J'ajouterai qu'il n'est nullement certain que la couche
noire sur les pierres calcaires des immeubles de Paris soit due uniquement aux suies, car puisqu'il se forme en surface, donc par des microorganismes aérobies, une croûte de silice, on peut penser à la réaction :

calcium - carbone = silicium ; autrement dit cette formation de silice serait accompagnée d'une « extraction » de carbone à partir du calcium
de la pierre, d'où l'apparition simultanée de la couche superficielle noire de charbon et de la couche sous-jacente de silice. Cette couche noire uniforme s'observe même sur des constructions du siècle dernier et nombreux sont actuellement les spécialistes qui pensent qu'il ne faut pas accuser
seulement l'atmosphère souillée des grandes villes, car on a observé le même phénomène dans les campagnes. Je signale d'ailleurs qu'on peut constater que les rares monuments de Paris en granit — par exemple, place Fontenoy, et des socles de statues n'ont pas cette couche noire ; c'est donc une « maladie » microbienne du calcaire et non pas seulement un dépôt d'origine atmosphérique (mais, dans certaines circonstances, le granit peut aussi être « malade » — v. photos du porche de l'église de Sizun, Finistère, dans «Transmutations Naturelles ».

Je dois dire ici de suite que ces altérations de la pierre sont dues à des microorganismes (champignons, souvent de la famille des aspergilles ou moisissures ; des algues microscopiques ; des bactéries ; des actinomycètes, qui vivent comme les bactéries, mais se reproduisent comme des champi-
gnons, par exemple les streptomyces). Il y a donc dans ces phénomènes intervention d'agents vivants, suivie de réactions chimiques diverses entre ces éléments obtenus par une transmutation biologique. Est-ce à dire que seuls les microorganismes, les êtres vivants sont capables d'avoir transformé la Terre ? Non et on verra dans « Transmutations Naturelles » comment le granité naît des schistes, avec des transmutations d'éléments, mais sous l'action de forces physiques que nous connaissons encore mal (pression et température combinées probablement) et à une échelle énergétique sans commune mesure
avec celle des forces biologiques, qui, à faible température, à faible pression, sous l'action catalytique des enzymes des cellules (animales, végétales ou des microorganismes) sont capables de produire aussi les mêmes transmutations (comparons avec le fait qu'il faut des températures très élevées
ou de très fortes pressions pour obtenir la combinaison chimique de l'azote et de l'oxygène in vitro, alors que la cellule vivante fait cette réaction à froid).
Pour le moment, nous n'avons pas pu mettre au point une méthode physique facile et incontestable pour produire ces transmutations et nous n'avons pu les vérifier 172 vitro que par l'intermédiaire biologique, même sur les minéraux, sur les métalloïdes et métaux, et c'est pourquoi nous ne ferons état, dans cet ouvrage que des transmutations biologiques.

Extrait du livre Transmutations biologiques et Physique mode

par Jean-Pierre Martinez » dim. 16 nov. 2008 07:14

L'expérience la plus célèbre de Kervran est sans doute celle de la germination d'avoine. En fait, l'avoine représente un système biologique moins compliqué que celui d'une poule. Le bilan total des minéraux avant et après germination et plus aisé.

Recherche des variations du calcium et du potassium dans la culture d'avoine

L'avoine a été retenue parce que c'est la céréale la plus calcifuge que j’ai eu l'occasion d'étudier. Elle pousse bien enterres acides (granitiques par exemple). On peut dès lors la cultiver en laboratoire avec de l’eau extra-pure, qui est presque toujours acide (donc donneur de protons, selon la définition"moderne" de l'état acide et n'oublions pas ce que représente le pH d'un ph-mètre). Il faut donc éviter de la neutraliser, ou de la "tamponner". J'ai utilisé de l'eau extra-pure résultant de la combustion d'hydrogène et d'oxygène, ces deux gaz provenant d’une électrolyse. ils étaient donc rigoureusement purs, ce qui n'est pas toujours le cas quand, par exemple, l'hydrogène provient d'une réaction de l’acide sulfurique sur du zinc. Le zinc est trop souvent impur, sauf s'il a été produit par électrolyse. L'acide sulfurique du commerce résulte, souvent, du grillage de pyrites très complexes comme mélange, ce qui conduit à l'écarter aussi, à moins que ce ne soit un acide "pur"provenant de soufre raffiné. II ne m'a pas toujours été possible d'avoir suffisamment d'une telle eau. J'ai alors utilisé de l'eau bidistillée, car dans l’eau distillée une seule fois il passe, au début de la distillation, une "tête" où sont des pro-duits volatils très divers et qui se condensent aussi les premiers, produits organiques souvent toxiques : mon collègue au Conseil d'Hygiène de Paris, P. Lépine, de l'Institut Pasteur, nous disait n'avoir pas pu conduire à bien certaines expériences en microbiologie, ou en biologie humaine, en utilisant de l'eau de Paris après une seule distillation : il faut rejeter les"têtes d'alambic" et re distiller la partie condensée qui reste.

Les eaux "adoucies", épurées sur des résines échangeuses d'ions, dites aussi "permutées", contiennent encore trop de minéraux pour les recherches que nous effectuons. "Permutées" au mieux elles doivent en plus être distillées par un seul passage. Les analyses de chaque livraison d'eau sont faites par spectrophotométrie d’absorption atomique, sur des prélèvements qui ont varié de un à trois litres par bonbonne, et réduits à 50 ml par évaporation pour s'assurer qu'elle ne contient pas une quantité dosable de Ca++ et de K+ (lorsque les recherches portent sur ces cations) pouvant faire varier les résultats obtenus de plus de l %o. De telles recherches ont été faites aussi sur les matériaux susceptibles d'entrer en contact avec les plantes en culture (pyrex, plexiglas, altuglas, polyéthylène...). Il faut en outre penser aux opérations d'analyses, aux différents stades, afin de veiller à ne pas introduire dans le circuit d'éléments parasites. Il m'a paru bon de citer quelques exemples de telles expériences, d'après des travaux que j'ai diffusés, en général par photocopies, en les amputant cependant de tout ce qui pourrait être des répétitions.



l. RECHERCHES SUR K ET SUR Ca, DANS L'AVOINE

J'ai abandonné les recherches sur des plantes calcicoles, comme le ray-grass, faute de temps, de personnel, etc. afin de me limiter aux études sur l'avoine, plante calcifuge type. Je disposais de plus, dans cette voie, de travaux de Zündel et de quelques autres. Je pouvais ainsi faire état d'un très grand nombre de résultats représentant une convergence statistiquement irréfutable par toute personne de bonne foi. Il n'a guère été poursuivi non plus d'études sur des bilans de Mg, ni sur Si qui, dans certains cas (animaux par exemple) ont aussi la possibilité de se transformer en calcium. Déjà en 1799 Vauquelin avait constaté que si la silice diminue et que la "chaux" augmente lors d'un bilan sur la poule, à partir de l'avoine ingérée, la diminution de Si ne compense pas, quantitativement l'augmentation de Ca. Des recherches — trop peu nombreuses peut-être? — ont montré que dans la germination d'avoine Mg et Si n'avaient pas un rôle significatif pour la production de Ca. Par contre, les expériences étaient très nombreuses confirmant qu'il y avait une diminution de K compensant l'augmentation de Ca. Zündel également n'a fait que peu de recherches sur Mg et Si dans ses cultures d'avoine car ses premiers travaux lui avaient montré que la variation de ces deux éléments était trop faible, et insignifiante par rapport à l'augmentation de Ca. lia écarté aussi les recherches sur K, pour deux raisons : • il ne faisait pas lui-même l'analyse de K et ne tenait pas à se porter garant de ce qui avait été fait par d'autres ; • il lui a semblé que les quelques analyses qu'il a fait faire, par spectrométrie de flamme, par activation neutronique, par fluorescence X, notamment, divergeaient de trop selon les méthodes, les opérateurs, les laboratoires, même entre opérateurs d'un même laboratoire utilisant la même méthode ; la re production n'était pas assurée quant aux valeurs numériques de K qui lui furent données, et il n'avait aucun moyen de départager lui-même la fiabilité des analyses, car il faisait essentiellement confiance à l'analyse chimique gravimétrique, pesant des milligrammes de cations : il pouvait ainsi peser au 1/10 de mg la "création" de Ca ; mais à partir de quoi? il ne se pro nonce pas. Je ne donnerai pas ici des résultats obtenus par des méthodes chimiques, qu'elles soient gravimétriques ou colorimétriques. Des analyses rapides de vérification grossière ont été faites par diverses méthodes de complexométrie (par l'E.D.T.A. par exemple). Elles sont plus délicates à réaliser qu'on ne le pense souvent, car le complexant doit être choisi en fonction du rapport entre Mg et Ca. J'ai indiqué dans mon livre de 1975, à propos de recherches sur le homard, pourquoi il fallait rejeter certaines méthodes parce que le rapport Mg/Ca variait beaucoup en fonction du métabolisme de l'animal : après sa mue la méthode était totalement inadaptée en fin d'expérience, ce qui fait qu'il était impossible d'avoir des résultats comparables. J'aurai l'occasion, dans un autre chapitre, d'exposer pour quoi je suis conduit à des réserves sur certaines analyses par activation neutronique (pas sur toutes). Certaines méthodes électroniques aussi sont à rejeter pour une analyse reproductible sûre et finalement j'ai essentiellement retenu les valeurs numériques obtenues par spectrophotométrie d'absorption atomique et encore en n'oubliant pas qu'il y a certaines précautions à prendre pour préparer les échantillons testés, opérations assez souvent confiées à des laborantines qui n'ont nullement été préparées à l'étude de tels phénomènes. Je sais — et j'ai cité des résultats — que des valeurs convergentes, pour Ca, ont par fois été obtenues par spectrométrie de flamme. Mais je ne puis leur faire confiance à priori ; il faut les recouper, car dans certains appareils on utilise une flamme de température insuffisante pour ioniser assez d'atomes de Ca et obtenir des résultats valables et reproductibles. Il est préférable aussi d'avoir le même opérateur afin de mieux contrôler le réglage de la flamme (débit et pression du gaz sont à vérifier).

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