judéo chrétien
Posté : dim. 11 avr. 2010 00:35
judeo chretien
deux mots sur lequel l'occidental moyen crache régulièrement.
oubliant que le judeo chretien a laissé des tresors inestimables: combien d'entre nous ne se sont jamais recueillis dans les cathédrales, les églises, ...en recherchant un sentiment de paix?
certains n'entrerons jamais par colère ou par ce que leurs parents leur ont transmis les inepties communistes
on dira "oui mais ce n'était là que des autels paiens piétinés détruits" sur lesquels on a érigé cette basilique!
il se trouve qu'au present, ce sont l'un des vestiges-matières de notre histoire spirituelle. donc je remercie mon curé et le maire du village de pouvoir pénétrer cette église qui me procure un sentiment de paix intemporel. en plus ça donne du cachet au lieu ou j'habite, puis c'est joli..
le stabat mater est à dégueuler si on part du principe que le judeo chrétien c'est de la merde
le stabat mater n'est qu'une prière qu'un humain a adressé en son for intérieur à un soi divin, songeons-y. mettons-y l'intention juste...
plutôt que de tout pietiner, imprégnons nous de la beauté des vitraux d'une chapelle, des chants "sacrés" qui nettoient notre âme en soif de spirituel, du lever du soleil au son d'un clocher d'art roman... et nous ne voyions que cela: guerres, génocides, le nom du christ, les ors des étoffes et les interdits extrêmements violents... colère... on confond alors aisément dans cet état d'esprit humilité et humiliation... naissance du déni
c'étaient des époques à chier, les femmes qui avaient leur règles ne pouvaient pas entrer dans les églises, aujourd'hui on a le droit d'y aller avec nos ragnagnas
notre époque est une époque de liberté (relative) ou chaque belle chose doit être goûtée, appréciée à sa juste valeur (la notre au présent). ayons de la compassion pour les générations passées qui ont marché sous le joug de la croix du christ, mais ne pensons pas que parce que la crucifixion, toute oeuvre divine se doit d'être expérimentée douloureusement.
dans le fond notre vie a été douleur, petits et vulnérables animals, nous sortions du ventre en sanglotant, nos mères accouchèrent dans la douleur, dans la joie mais parfois que dans la douleur. la connaissance fut douloureuse: tu ne renieras pas le père. (mettons de côté le futur)
A travers le stabat mater nous expérimentons la souffrance, la peine, la perte, la force de résister, le feu divin. quelle plus grande douleur que celui de perdre son enfant. (marie). cette prière christique est source de toutes les joies et de tout est amour du présent. Expérimentations de la dualité religieuse. douceur et violence, douleur et pardon, feu de joie et tristesse glacée, amour infini et meurtre, sang et paix...
à une époque ou Mickey et Disney sont les rois de la danse, nous ne voulons plus de ces terrifiantes allusions au corp souffrant, à la flagellation. mais heureusement nous savons encore retenir la beauté indicible d'un chant de prière sacrée...
songeons à cela. A qui nous adressons-nous: au pape ou à dieu. quel dieu? le notre ou celui qui est en nous?
et pour terminer songeons à cela: la sexualité est elle seule voie divine?...nous sommes à une époque de droit... on a un petit peu plus le droit, c'est tristement tout. le droit de.. c'est du mensonge à la source.
l'inspiration est de tous temps: du judéo chrétien au fric democratique nous avons traversé les époques toujours en nous inspirant du meilleur en nous.. parfois nous avons pleuré pour avoir expérimenté le pire... bien sûr le carcan était lourd et sans vie mais nous avons espéré... parfois les choses sont venues alors que nous n'avions rien fait....nous les faisions dans l'amour guidés par un soupçon de liberté
B.
deux mots sur lequel l'occidental moyen crache régulièrement.
oubliant que le judeo chretien a laissé des tresors inestimables: combien d'entre nous ne se sont jamais recueillis dans les cathédrales, les églises, ...en recherchant un sentiment de paix?
certains n'entrerons jamais par colère ou par ce que leurs parents leur ont transmis les inepties communistes
on dira "oui mais ce n'était là que des autels paiens piétinés détruits" sur lesquels on a érigé cette basilique!
il se trouve qu'au present, ce sont l'un des vestiges-matières de notre histoire spirituelle. donc je remercie mon curé et le maire du village de pouvoir pénétrer cette église qui me procure un sentiment de paix intemporel. en plus ça donne du cachet au lieu ou j'habite, puis c'est joli..
le stabat mater est à dégueuler si on part du principe que le judeo chrétien c'est de la merde
le stabat mater n'est qu'une prière qu'un humain a adressé en son for intérieur à un soi divin, songeons-y. mettons-y l'intention juste...
plutôt que de tout pietiner, imprégnons nous de la beauté des vitraux d'une chapelle, des chants "sacrés" qui nettoient notre âme en soif de spirituel, du lever du soleil au son d'un clocher d'art roman... et nous ne voyions que cela: guerres, génocides, le nom du christ, les ors des étoffes et les interdits extrêmements violents... colère... on confond alors aisément dans cet état d'esprit humilité et humiliation... naissance du déni
c'étaient des époques à chier, les femmes qui avaient leur règles ne pouvaient pas entrer dans les églises, aujourd'hui on a le droit d'y aller avec nos ragnagnas
notre époque est une époque de liberté (relative) ou chaque belle chose doit être goûtée, appréciée à sa juste valeur (la notre au présent). ayons de la compassion pour les générations passées qui ont marché sous le joug de la croix du christ, mais ne pensons pas que parce que la crucifixion, toute oeuvre divine se doit d'être expérimentée douloureusement.
dans le fond notre vie a été douleur, petits et vulnérables animals, nous sortions du ventre en sanglotant, nos mères accouchèrent dans la douleur, dans la joie mais parfois que dans la douleur. la connaissance fut douloureuse: tu ne renieras pas le père. (mettons de côté le futur)
A travers le stabat mater nous expérimentons la souffrance, la peine, la perte, la force de résister, le feu divin. quelle plus grande douleur que celui de perdre son enfant. (marie). cette prière christique est source de toutes les joies et de tout est amour du présent. Expérimentations de la dualité religieuse. douceur et violence, douleur et pardon, feu de joie et tristesse glacée, amour infini et meurtre, sang et paix...
à une époque ou Mickey et Disney sont les rois de la danse, nous ne voulons plus de ces terrifiantes allusions au corp souffrant, à la flagellation. mais heureusement nous savons encore retenir la beauté indicible d'un chant de prière sacrée...
songeons à cela. A qui nous adressons-nous: au pape ou à dieu. quel dieu? le notre ou celui qui est en nous?
et pour terminer songeons à cela: la sexualité est elle seule voie divine?...nous sommes à une époque de droit... on a un petit peu plus le droit, c'est tristement tout. le droit de.. c'est du mensonge à la source.
l'inspiration est de tous temps: du judéo chrétien au fric democratique nous avons traversé les époques toujours en nous inspirant du meilleur en nous.. parfois nous avons pleuré pour avoir expérimenté le pire... bien sûr le carcan était lourd et sans vie mais nous avons espéré... parfois les choses sont venues alors que nous n'avions rien fait....nous les faisions dans l'amour guidés par un soupçon de liberté
B.