Géobiologie quantique coévolutionet perceptions subtiles

C'est drôle comme on (1) a toujours une idée de la facon dont il faudrait que l'univers fasse les choses pour nous.
Un truc dans le genre :

Ok, je vais suivre mon intuition, montre moi le chemin, cette fois je t'écoute.
Allez, je t'aide, Voilà le chemin qu'il faut que tu me montres.
Allez, 'j'attends...
Ben quoi ?
tu veux que j'évolue oui ou non ?

C'est bête, parce que c'est jamais que le choix de souffrir, et par peur de souffrir en plus.
Ou par amour, j'en sais trop rien, tout se ressemble tellement.
D'ici à ce que quelqu'un me dise que c'est la même chose et que tous les choix se valent...

Ben moi ca me fait réfléchir en ce moment.
Lionel


(1) ou moi, ou mon/notre ego, ou autre, j'en sais rien.
Saleté d'orgueil. ^^

bonjour Lionel
je suis desolee mais je n'ai rien compris à ton post...

amicalement
B.

Disons que l'intuition ne peut fonctionner qu'en lâcher prise, pas en essayant de contrôler.. donc pour un débutant (et même un plus avancé) il n'est pas évident d'avoir des réponses sur les sujets qui nous intéressent. Du moment que tu as une idée arrêtée sur quelque chose, ton mental est au milieu et c'est mort.

il faut énormément nettoyer pour commencer à avoir des réponses.. simplement parce que plus tu nettoies plus tu te fous de la réponse
En résumé tu as les réponses sur les sujets dont tu n'as rien à faire ...

Bonjour,

cernus a écrit :il n'est pas évident d'avoir des réponses sur les sujets qui nous intéressent.

j'avais une anecdote à livrer là-dessus ca m'est arrivé hier soir à la sortie de mon boulot. Après avoir acheter le magazine "monde du graal" au Relais H., je reflechissais sur un sujet que je voulais lancer sur ce forum ; sur "l'impression de déjà-vécu", j'ai commencé à réfléchir sur la manière dont je pouvais exposer mon opinion là-dessus mais la manière d'évoquer la desynchronisation du mental et du moi ne se précisait pas vraiment et je n'arrivais pas à désimbriquer mes idées tout ca... je m'assieds dans le metro j'ouvre le magazine et paf je tombe pile poil sur un article sur la question: un article sur l'impression de déjà vu et l'impression de déjà vécu.

j'avais la des elements de réponse à la question que je me posais juste avant, mais je ne sais pas si c'est parce que j'avais scanné inconsciement le magazine et en découlait que je me posais la question, ou alors si j'avais provoqué l'achat du magazine pour avoir une réponse a ma question... je ne sais pas d'où venait cette coincidence... donc j'ai essayé de me souvenir si j'avais acheté le magazine AVANTde m'être posé la question ou APRES mais il me semble bien que c'était avant...

enfin voila, intuition ou réception passive en tout cas j'avais la reponse immediate a ma question ... du coup ca m'a fait rire toute seule dans les transports on a du me prendre pour une folle...par ailleurs pour rebondir sur la question de l'orgueuil, je me suis rendue compte un peu déconfite que mes sujets de questionnement n'étaients pas très originaux (l'ego...)
B.

Dans le sens ou les signes peuvent être criants et nous si aveugles, avez vous vu cette scene sortie de "Bruce, Tout-Puissant" ? là ou il implore Dieu, perdu dans sa vision meurtrie de sa vie en ruine, et ou une succession de "signes" tous plus visibles les uns que les autres correspondent à ses demandes mais pas à ces attentes, Dieu lui réponds et en il n'écoutes/voit pas...

Intéressante transformation pour conclure ce "divertissement" sur les mots "soyez le miracle"

parfois le choix de la souffrance se fait, presque en conscience...

Et cela apporte beaucoup dans la comprehension et la simplicité la douleur comme accompagnante fidèle.

jean-pierre, qui est bien content de ce qui arrive en ce moment...

J'avoue ne pas être fan, mais je reconnais que la souffrance provoque un lâcher prise très puissant (qu'elle soit psychologique ou physique).

La douleur en plus d'être une information, permet de mettre de l'énergie dans la matière a priori, c'est pratique si on part trop dans l'espace mais également si on doit développer quelque chose. (c'est le sens des courbatures des sportif à un certain niveau apparement). Il n'est guère étonnant par ces époques où les gens mettent trop d'énergie dans le mental, qu'ils soient obligés de s'atteindre physiquement pour retourner dans la matière. Ceux qui sont trop accrochés aux lustres finissent souvent par vivre des choses vraiment très dures dans la matière, seul moyen parfois de connecter le bas.

Les blessures physiques sont des énergies qui racontent des histoires.. souvent très intéressantes.

bonsoir
la maladie est peut etre un des elements qui favorise l'isolement et au ressourcement intérieur a condition qu'on se trouve dans un environnement agréable et sécurisant .
je me souviens malade étant jeune , j'étais heureuse d'échapper enfin aux contraintes de la broyeuse sociale ( profs, devoirs, notes, parents exigeants...), c'est parfois l'occasion ENFIN ! de se retrouver (l'impulsion créatrice) au calme loin de l'agitation extérieure, auprès des siens ...

B.

Quelques amis(!) : mort, souffrance, maladie, perversions, peur, ennui.

On oublie trop souvent qu'on est des voyageurs à cause de l'expérience particulière de l'homme, et on a tendance à se laisser enfermer dans nos constructions mentales ou spirituelles. Tout cela est un panel d'évolution bien utile à l'homme (liste non exhaustive et quelques retours d'expérience du 'côté obscur')

Peur => La peur permet de fermer des portes. Souvent des endroits où il ne faut pas aller (parce que déjà fait dans une autre vie ou pas prêt).
Elles se déverrouillent quand on est prêt à y aller, si c'est utile dans cette vie.
Ennui => pour nous indiquer qu’il faut changer. (de vie, de boulot etc..)

Perversions => permettent de savoir ce que nous sommes et ce que nous ne sommes pas. Ce n'est pas parce qu'on a des pulsions qu'on est obligé d'y céder.
De manière générale, nos perversions nous indiquent nos peurs de la vie à réparer.

On peut le voir avec les yeux de la peur, et refouler ou céder à ses pulsions. (quand on refoule, généralement on explose un jour ou l'autre).
On peut le voir avec les yeux de l'amour et comprendre que ce sont des balises pour nous indiquer là où il faut travailler à évoluer, ça développe également la capacité de contrôle et la volonté (même si c'est un outil à double tranchant et illusoire à un certain niveau).
Par exemple tout le monde a des pulsions d'agressivité, sexuelles plus ou moins refoulées etc...

Mort => permet de passer à une étape suivante. On meurt quand on n'a plus rien à apprendre de ce corps et de cet esprit humain. Pour passer à autre chose.
souffrance => permet de lâcher prise pour continuer son voyage (sans mourir), parce qu'il reste des choses à apprendre avec ce corps et cet esprit.
Si la mort était vue en positif, on pourrait manifestement laisser nos corps là où on est et s'en aller sans plus de formalité, comme on le voit par les yeux de la peur, on va agoniser pendant des lustres, jusqu'à ce que le processus de l'agonie permette de lâcher prise.
La souffrance permet de couper les liens et de faire avancer. Ca permet également de nous vider de nos certitudes. Ca fait lâcher prise.

Maladie, douleur => permet de remettre de l'energie dans la matière, ça arrive si on s'est trop dispersé à mettre de l'energie dans le mental ou le spirituel et qu'on n'écoute pas.
Handicap => ferme des portes pour obliger à en ouvrir d'autres (si on ferme certaines perceptions extérieures c'est souvent pour ouvrir des perceptions intérieures).
Si on s'empêche de bouger, c'est pour s'obliger à prendre le temps pour autre chose.

Donc quand on a un handicap, c'est qu'on s'est fermé une porte. Si on voit par les yeux de la peur on va pleurer sur la porte fermée.
Si on voit par les yeux de l'amour on va chercher la porte qui s'ouvre à la place.

En résumé assez d'accord avec jp : nos 'faiblesses' cachent souvent nos plus grands trésors et nos plus grandes évolutions.

Concernant la maladie et la douleur, il m'est venu une autre réflexion : est-il possible que le même effet soit utilisé dans un but différent ? Comme tu le dis, ça permet de mettre de l'énergie dans la matière et l'idée qui m'est venue est que justement, ça peut servir à éviter d'aller vers le spirituel.
Je ne sais pas si je suis clair : l'idée serait qu'au lieu de servir à redescendre dans la matière parce qu'on est trop dispersé dans le mental ou le spirituel, on descend dans la matière pour éviter le côté mental ou plutôt spirituel.