Géobiologie quantique coévolutionet perceptions subtiles

Bonjour à tous,
Pas sûr que ce post soit à la bonne place ici mais où le coller le pôvre ?
Il ne se passe sûrement pas autant de choses autour du cerisier de mon jardin qu'autout de la roche aux fras de l'île d'Yeu, mais je me pose quelques questions à son sujet et à celui de notre amitié.
Comme je m'étonnais de voir affleurer une grande partie de ses racines, ce qui peut-être n'est pas le style de ce genre d'arbres, on m'a dit que la composition de la terre du jardin ne lui avait pas permis de raciner plus profondément.. Ce qui m'a fait un peu de peine pour lui (le sentez-vous heureux tout de même?) et qui m'a fait penser au travail en miroir que nous pouvons lui et moi réaliser ensemble .. Puisque j'ai un maouse probléme d'incarnation et d'enracinement (A ce sujet j'ai du mal à faire la différence et je pense bien que j'ai les deux, l'un découlant de l'autre, non?)
Mais au fait, raciner sur le plan horizontal et au grand jour, c'est un peu co-évulutif, non? Et c'est terribement ce que je recherche
Donc j'ai cru bien comprendre le message: faut travailler tout ça, je vais tacher de raciner tant et plus dans mon nouveau mode de vie sans -du moins pour l'instant- déménager pour autant. Mais lui, grand comme il est, va pas pouvoir non plus se transbahuter ailleurs.. Comment gère-t-il l'affaire? Dérouler ses racines à l'horizontale au vu et au su de tout le monde, ça lui va? Si quelqu'un peut me donner des ses nouvelles, cela me ferait grand plaisir en attendant que notre communication se fasse plus fluide
Mille tendresses
Marie

Coucou Marie ,
Je vais le déplacer dans question/réponse afin que les coévoluants puissent te répondre.

J'ajoute aussi le lien avec la photo de ton cerisier pour qu'il puisse le voir et se faire un ressenti.

cerisier-t3394.html?hilit=cerisier#p23566

Te fais de gros bizousss

Coucou Marie !

Je pense que lui , il s'en moque , il n'est ni heureux , ni malheureux , il est, c'est tout .
Raciner sur le plan horizontale , ça veut dire quoi pour toi ?

Pour lui, à partir du moment où il ne pourra plus générer ou étendre ses racines, il stoppera sa croissance et c'est tout.
J'ai un ficus en pot depuis 17 ans, et il est bien vigoureux, tout beau, je lui donne à manger une fois par ans (je dépote et rempote dans le même pot), et il ne grandit plus, faute de place dans le pot pour de nouvelles racines. Je suppose que pour le cerisier c'est pareil.

Bisous
So

Coucou Sophie,
Et grand merci pour ta réponse, plutôt "rassurante" concernant mon copain l'arbre!
J'ai "entendu dire" et donc hélas "tendance à penser" ,que certains arbres (sans que cela ne se complique d'élucubrations mentales et de rouspétances psychiques comme chez l'humain) sont "tristes" de leur situation et que comme nous ils encaissent plus ou moins bien. Mais je ne l'ai jamais vérifié personnellement par des perceptions. Et il est vrai que j'ai une tendance non négligeable (et trop longtemps négligée) à la projection!
Quand je parle de "raciner à l'horizontale", c'est vrai que l'expression est mal choisie.
Pour moi, une des leçons du moment (que semble me renvoyer l'observation de la tactique de racinage de mon arbre-ami) est la nécessité de "faire avec", d'accepter les situations et les êtres tels qu'ils sont. Notamment le fait de ne pas avoir beaucoup de "répondant" dans mon entourage (famille, proches) sur le plan du partage de l'évolution en conscience. (Heureusement vous êtes là!)
Alors dans mes constants -et douloureux - efforts d'enracinement, m'inspirer largement de l'option prise par cet arbre-là qui racine "comme ça se présente" sans trop se soucier de la mode chez les cerisiers ,et qui -je ne l'en remercierai jamais assez- me donne l'occasion de saluer régulièrement les dites racines, même et surtout quand elles me font trébucher
Tendresses
Marie

Coucou Sophie,
Merci pour ta réponse!
"Raciner à l'horizontale", c'est vrai que l'expression est mal choisie
Ce que je voulais dire était : faire comme mon cerisier, trouver sa nourriture et sa stabilité là où cela "répond" et non là où on est censé devoir la chercher classiquement.
Tendresse
Marie