Géobiologie quantique coévolutionet perceptions subtiles

fleurdevie57 a écrit :Croire qu'il est possible et profitable de ne jamais y rentrer me semble une douce utopie : je crois que l'on y est inévitablement confronté et le pardon bien compris m'apparaît, dans ce cas, comme une bonne réponse.

au fond je suis assez d'accord avec ton propos, croire qu'on a pas besoin de réfléchir au sens du pardon pour être en accord avec quoi que ce soit est un peu ridicule et superficiel
je crois aussi comprendre le point de vue d'elementerre, mais effectivement prendre l'expérience pour l'expérience et pour rien d'autres est une des pratiques , c'est difficilement jouable de manière stable pour moi.

b

elementerre a écrit :pour pardonner il faut que l'autre soit en faute, ou soi même ?

sinon pas de pardon. Pour moi pas de faute, juste de l'expérience, mais bon c'est juste ma vision et je suis d'accord avec moi

C'est pas grave, Jean-Pierre, on te pardonne xD

Bonsoir,

en toute humilité je voulais aller dans le sens des règles comme idées philosophies plutôt que gravées dans le marbre des tables de la loi
les principes du Reiki ne se définissent ils pas avec la précaution de "Juste aujourd'hui, ..." ; en toute lumière avec soi-même, connaissant les limites de chaque instant... tout comme dans les accords toltèques l'explication de "Faire de son mieux..." précise que le mieux évolue constamment !! de mieux en mieux !! comme chaque expérience ou tentative d'application d'un précepte de vie (réussie ou non) nous fait découvrir notre être dans la quête pour ne retrouver...

Par exemple se dire d'être dans l'amour est aussi un Nieme principe... décider de son application c'est retrouver son seul pouvoir : décision, libre arbitre, appelez le comme vous voulez. Son application aveugle est presqu'inutile mais vécue en conscience, elle prend toute sa valeur.

Bonne nuit à tous, avec autant d'amour que je puis vous envoyer comme ceci,

elementerre a écrit :
pour pardonner il faut que l'autre soit en faute, ou soi même ?

sinon pas de pardon. Pour moi pas de faute, juste de l'expérience, mais bon c'est juste ma vision et je suis d'accord avec moi

Dans l'absolu, c'est vrai ! mais nous vivons dans un monde duel, dans un monde de polarités, et, dans notre vécu nous sommes confrontés à des oppositions. Ainsi, même dans cette discussion, c'est flagrant, même si, au final, en faisant abstraction des mots, nous sommes tous à peu près d'accord.
J'aime bien me référer à des exemples vécus. Je vais prendre une situation difficile que j'ai vécue : ma belle-mère était atteinte de la maladie d'Alzheimer et à un stade très avancé ; ma femme et moi l'avons prises à la maison pour lui éviter d'aller dans une maison de retraite, et ceci durant 5 ans. La difficulté de prendre en charge une telle malade est considérable, que ce soit sur le plan de l'hygiène, du comportement et de l'affectif. Je ne rentrerai pas dans les détails...Si j'en parle, c'est par rapport à notre discussion : dans l'idéal, tout a beau être parfait, dans le vécu il y a des moments de galère et d'horreur tels qu'on a le sentiment de l'insoutenable ! Par moments, la pression peut être si forte que l'on sent bien que l'on est à la frontière de son propre contrôle. Évidemment, cela éclaire sur nos limites et ...sur nos imperfections.
Bonne journée.

FdV57

fleurdevie57 a écrit :Par moments, la pression peut être si forte que l'on sent bien que l'on est à la frontière de son propre contrôle. Évidemment, cela éclaire sur nos limites et ...sur nos imperfections.

Il me semble que tu te juges un peu durement...
Faire face à cette maladie c'est aussi voir l'ouverture du coeur, les capacités à l'aide et à la générosité, tout en sachant qu'on a le droit d'en avoir ras le bol et parfois envie de tout envoyer promener parce que justement nous avons des limites et que si elles se manifestent c'est souvent par protection.
L'imperfection est peut-être dans le contrôle justement....quoique dans cette situation il faut en avoir une bonne dose.
Tu as certainement bien appliqué la leçon des accords Toltèques: tu as fait de ton mieux

Bisous

fleurdevie57 a écrit :Si j'en parle, c'est par rapport à notre discussion : dans l'idéal, tout a beau être parfait, dans le vécu il y a des moments de galère et d'horreur tels qu'on a le sentiment de l'insoutenable ! Par moments, la pression peut être si forte que l'on sent bien que l'on est à la frontière de son propre contrôle. Évidemment, cela éclaire sur nos limites et ...sur nos imperfections.

je suis plutôt d'accord avec ce que tu dis
une chose: je ne vois pas de quoi tu dois te pardonner d'avoir pris soin de ta belle-mère chez toi, ou alors j'ai mal compris..
ou alors peut être veux-tu juste dire que quelque fois on est dans un situation tellement difficile que prendre du recul même avec toute son énergie du coeur est assez difficile. dans ce cas là j'ai bien compris ce que tu voulais dire pour l'avoir moi-même vécu.
je crois que ce qu'il y a de plus suspect ce n'est pas de se pardonner à soi, c'est d'entendre l'autre vous dire "je te pardonne" en vous regardant droit dans les yeux.

voilà pour ma réaction pleine de dualité
amicalement
b

sofie a écrit :Un bon moyen dans un premier temps de rester dans l'instant présent, en revanche il est essentiel de ne pas oublier de se pardonner quand on faibli !!

Et que je crois que c'est surtout ça le plus dur, pour moi en tout cas, car quand on s'attache à des principes dictés (idem: principes du Reiki), on n'est forcément pas spontané ...

Donc dilemme ! rester soi-même ou se maîtriser sans cesse ! dualité quand tu nous tiens !

le mieux, et en tout cas l'option que j'ai choisi : ne pas se prendre la tête ! et voir en quoi justement ces principes n'ont pas été respecté, qu'est-ce qui à fait écho et occasionné ce débordement ?

Tiens donc! Tu nous parles des principes du Reiki. Dois-je déduire que tu connais? que tu le pratique? Il est vrai que le reiki demande de la spontanéité (voire la spontanéité spontanée: là, c'est le top!). Mais vous savez, je pratique le reiki moi aussi (lignée occidentale) enfin peu importe! Qu'il s'agisse de reiki, guildes, sociétés secrètes: ils ont un credo qui fais leurs forces. Ce sont sur les principes qu'ils revendiquaient qu'ils ont bâti leurs réputation. Alors, accords Toltèques, Reiki & tout. Si on regarde bien, il s'agit quasiment de la même chose...

fleurdevie57 a écrit :au final, en faisant abstraction des mots, nous sommes tous à peu près d'accord.

C'est ce qui m'apparait aussi

Je vais prendre une situation difficile que j'ai vécue : ma belle-mère était atteinte de la maladie d'Alzheimer et à un stade très avancé ; ma femme et moi l'avons prises à la maison pour lui éviter d'aller dans une maison de retraite, et ceci durant 5 ans. La difficulté de prendre en charge une telle malade est considérable, que ce soit sur le plan de l'hygiène, du comportement et de l'affectif. Je ne rentrerai pas dans les détails...Si j'en parle, c'est par rapport à notre discussion : dans l'idéal, tout a beau être parfait, dans le vécu il y a des moments de galère et d'horreur tels qu'on a le sentiment de l'insoutenable ! Par moments, la pression peut être si forte que l'on sent bien que l'on est à la frontière de son propre contrôle. Évidemment, cela éclaire sur nos limites et ...sur nos imperfections.

tu place le pardon dans l'histoire ?

Micha a écrit :Les accords Toltèques nous apprennent justement que les autres sont notre miroir et ce que l'on voit chez l'autre est le reflet de ce qu'il y'a chez nous. Par conséquent, pardonner aux autres revient à se pardonner soi-même .

je peux me tromper mais l'accord dont tu parles "ne prends rien de personnel" signifie à mon sens que les autres ne doivent pas te choquer/vexer/etc. puisqu'il projettent sur toi leur image déformée... en effet la il n'y a pas de faute : tu reconnais juste qu'ils se renvoient l'image de choses en eux qui les dérangent et toi dans cette opération tu les aides

Bonne soirée,