Re: Limites entre soi et les autres
Posté : dim. 16 juin 2013 14:02
Bien résumé Bien résuméGéobiologie quantique coévolutionet perceptions subtiles
Pour une spiritualité ancrée dans la matière, dans l'action et la coévolution
https://www.esprit-de-la-nature.fr/geobiologie/
Limites entre soi et les autres
https://www.esprit-de-la-nature.fr/geobiologie/viewtopic.php?t=2434
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Bien résuméRe: Limites entre soi et les autres
Posté : dim. 16 juin 2013 18:57
Re: Limites entre soi et les autres
Posté : mer. 19 juin 2013 02:19
Pour rejoindre vos deux points de vue Sofie et Aspéra, je dirais qu'il est surtout utile de trouver son autonomie dans un groupe.
Ca a été un des sujet exploité lors d'un stage avec JP et Christophe.
Ne pas complètement dépendre de lui mais simplement s'enrichir du partage.
Un groupe ne dérape pas. Les structures s'interconnectent et parfois disjonctent face à des miroirs réunis par les forces de l'univers.
Tout dépendra donc de notre angle de vision et non de l'allié auprès duquel nous nous sommes rapprochés.
J'aime le partage en groupe.
Comme j'aime me ressourcer seule aussi. Me reconnecter à moi-même.
Ainsi, ce que je suis dans mon unité est une force face au TOUT du groupe.
Si je ne sais pas qui je suis, je vais essayer de me retrouver dans les autres et parfois être déçue de ce que je verrais car je suis unique.
Ensuite, il y a la peur du rejet, la peur de l'indifférence, du jugement, de l'abandon... Autant de peurs qui nous mettent face à nous-mêmes et nous repoussent dans nos retranchements.
Etre seul, c'est être face à soi.
Et parfois, on préfère attendre que ce soit les autres qui nous disent celle qu'on est car ils sont bien moins durs que nous.
Et quand ils le deviennent, on s'insurge en criant qu'on est fasse à des cons!
On ne peut pas plaire à tout le monde. Autant déjà se plaire à soi-même.
Plus nous deviendrons honnêtes avec nous-mêmes, plus les autres le seront avec nous car l'univers n'aura plus à conspirer pour nous faire voir ce que nous nous obstinons à ne pas voir en nous.
Et ni le groupe, ni la solitude ne seront plus considérés comme des entraves à notre bien-être, à notre liberté d'être.
Vous observerez juste des individus avec leurs riches complexités évoluer entre eux et non plus les uns contre les autres.
Ca a été un des sujet exploité lors d'un stage avec JP et Christophe.
Ne pas complètement dépendre de lui mais simplement s'enrichir du partage.
Un groupe ne dérape pas. Les structures s'interconnectent et parfois disjonctent face à des miroirs réunis par les forces de l'univers.
Tout dépendra donc de notre angle de vision et non de l'allié auprès duquel nous nous sommes rapprochés.
J'aime le partage en groupe.
Comme j'aime me ressourcer seule aussi. Me reconnecter à moi-même.
Ainsi, ce que je suis dans mon unité est une force face au TOUT du groupe.
Si je ne sais pas qui je suis, je vais essayer de me retrouver dans les autres et parfois être déçue de ce que je verrais car je suis unique.
Ensuite, il y a la peur du rejet, la peur de l'indifférence, du jugement, de l'abandon... Autant de peurs qui nous mettent face à nous-mêmes et nous repoussent dans nos retranchements.
Etre seul, c'est être face à soi.
Et parfois, on préfère attendre que ce soit les autres qui nous disent celle qu'on est car ils sont bien moins durs que nous.
Et quand ils le deviennent, on s'insurge en criant qu'on est fasse à des cons!
On ne peut pas plaire à tout le monde. Autant déjà se plaire à soi-même.
Plus nous deviendrons honnêtes avec nous-mêmes, plus les autres le seront avec nous car l'univers n'aura plus à conspirer pour nous faire voir ce que nous nous obstinons à ne pas voir en nous.
Et ni le groupe, ni la solitude ne seront plus considérés comme des entraves à notre bien-être, à notre liberté d'être.
Vous observerez juste des individus avec leurs riches complexités évoluer entre eux et non plus les uns contre les autres.