Géobiologie quantique coévolutionet perceptions subtiles

Tu parles des entités humaines qui peuvent voir le thérapeute comme "meilleure porte de sortie" que le patient

Dans ce cas, "si le thérapeute est parfaitement clair dans ce qu'il fait" il y a des chances pour que, même inconsciemment, il permette à ces âmes de continuer leur chemin.

Sinon, il va peut être se les collectionner...

effectivement si le thérapeute a l'action juste, c'est toujours simple, les entités dans ce cas continuent leur chemin. Sinon, en fait leur présence "négative" amènera le thérapeute à se remettre en question.

Cela est valable pour toutes les énergies de polarité négative qui, quand elles sont collées à nous, nous donnent juste de l'informations sur notre "alignement".

voilà j'espère que cela est plus clair

bonne soirée

jean-pierre

Euh, non, ça ne répond pas vraiment à ma question

Le "mécanisme" décrit me parait clair, mais la question est en amont de ce qui se passe :
Qu'est ce "qu'être parfaitement au clair dans ce qu'il fait" pour un thérapeute ?

qu'est ce que "l'action juste" ? (bon, ...sans faire de roman )

Je crois comprendre qu'il s'agit "simplement" (!) du positionnement du thérapeute, mais dans ce cas comment vois-tu le positionnement juste pour un thérapeute ?

Ca m'intéresse parce que ce sont des questions qui reviennent souvent sur le tapis pour moi et ont provoqué beaucoup de remue ménage intérieur


Où j'en suis de mon cheminement sur la question du positionnement, il y a :
Ne pas se positionner en sauveur... (suffisamment évoqué par ici)
Se positionner "d'égal à égal" et non "l'un soigne l'autre", "l'un sait /l'autre pas" , "l'un qui demande/l'autre qui donne" etc
ce qui crée des jeux de dominant-dominés, déresponsabilisation, transferts...
Sentir qu'il y a en fait échange entre les deux, miroir, apport mutuel au niveau intérieur
On ouvre un espace d'écoute et de résonance à l'autre et on laisse y naître et se manifester ce qui s'y présente spontanément et on compose avec.
Et un point qui est devenu très important pour moi et qui semble au premier abord paradoxal dans une relation thérapeutique : on ne cherche pas à changer l'autre - donc y compris ses symptômes ...(!! c'est là que c'est parfois dur à comprendre à première vue)
Un esprit de non intervention, non faire, mais d'écoute, d'accueil et de neutralité bienveillante

En tant que patiente, j'ai vécu une seule fois un soin où le thérapeute avait ce respect total, espace d'accueil et d'écoute, cet esprit de non intervention et de laisser se faire... Quelque chose de très profond et de très beau s'est passé là... et par contraste, j'ai pris conscience à quel point les sessions de thérapie contiennent souvent des formes de violence subtiles, auxquelles, même si je n'avais jamais réussi à mettre des mots dessus, je suis très sensible... et du coup les séances de thérapie tout en me faisant du bien à un certain niveau créaient ou réactivaient beaucoup de blessures par ailleurs...

Coucou Vibrazione

Je ne veux pas répondre à la place de JP, mais je pense qu'il a voulu dire par positionnement juste, être thérapeute dans le sen où ce dernier n'est rien qu'un agent de quelque chose qui agit à travers lui, tout en sachant que le "patient" ne fait que provoquer lui meme sa guérison en venant voir le thérapeute...

En quelque sorte, celui qui "soigne" n'a en fait aucun "pouvoir" en lui meme. Il est juste un canal et un miroir pour l'autre qui a décidé de participer à sa propre guérison.

Je ne sais pas si je suis bien clair...

"neutralité bienveillante", "présence bienveillante" des mots qui me semblent apporter un début de réponse. cette bienveillance, cette écoute peut être, tiens, sans vouloir étaler la confiture, ça me rapelle juste là maintenant Vasudeva le passeur dans Siddharta de H. Hesse :

L'une des grandes qualités du passeur, c'est qu'il savait écouter comme peu de gens le savent. Son interlocuteur sentait que, sans avoir prononcé un seul mot, Vasudeva, immobile et attentif, lui ouvrait son âme toute grande. Il ne lui échappait aucune parole, il n'en attendait aucune avec impatience, il n'avait pour aucune ni éloge ni blâme : il écoutait

C'est un peu dans cet esprit de bienveillance que je perçoit ce passage. une bienveillance totalement investie, et aucune action ou plutôt l'action du rien ou quelque chose comme ça.
Enfin, si ça cause à quelqu'un...

Bises à tous

YQUEM a écrit :Je ne veux pas répondre à la place de JP, mais je pense qu'il a voulu dire par positionnement juste, être thérapeute dans le sen où ce dernier n'est rien qu'un agent de quelque chose qui agit à travers lui, tout en sachant que le "patient" ne fait que provoquer lui meme sa guérison en venant voir le thérapeute...

En quelque sorte, celui qui "soigne" n'a en fait aucun "pouvoir" en lui meme. Il est juste un canal et un miroir pour l'autre qui a décidé de participer à sa propre guérison.

Je ne sais pas si je suis bien clair...

Oui, oui, c'est clair et tu l'exprimes très bien
(Cette façon de voir m'est familière)

Merci

Selon toi il s'agit donc du positionnement juste du thérapeute qui permet aux entités de continuer leur chemin
même si le thérapeute n'en est pas conscient ?
c'est la relation entre ces 2 éléments ma question de base
Après, au passage, avoir les avis de JP et des autres sur le positionnement juste du thérapeute m'intéresse beaucoup aussi

FMU a écrit : L'une des grandes qualités du passeur, c'est qu'il savait écouter comme peu de gens le savent. Son interlocuteur sentait que, sans avoir prononcé un seul mot, Vasudeva, immobile et attentif, lui ouvrait son âme toute grande. Il ne lui échappait aucune parole, il n'en attendait aucune avec impatience, il n'avait pour aucune ni éloge ni blâme : il écoutait


C'est un peu dans cet esprit de bienveillance que je perçoit ce passage. une bienveillance totalement investie, et aucune action ou plutôt l'action du rien ou quelque chose comme ça.
Enfin, si ça cause à quelqu'un...

Ah oui, ça me cause
Merci
Ca me donne envie de relire ce livre dont je garde un très beau souvenir...

Bonne nuit à tous

le therapeute ne peut que proposer de ramener l'autre à la conscience de ce qu'il est vraiment
mais sait-on qui on est vraiment? et le voulons nous vraiment?
quand c'est pas sûr, alors on remet en question la méthode employée,
c'est pour ça que quelque fois c'est juste en étant acculé qu'une démarche therapeutique peut aboutir
juste le temps d'une rencontre, un déclic peut se produire, alors on a un petit aperçu, les verrous sautent...
ils nous accompagnent jusqu'à nos prochaines limites, celles que nous avons mis nous même à l'aide de notre ego
le probleme de l'ego n'est pas ce qu'il est mais ce qu'il nous fait faire et nous éloigne du chemin véritable (celui du coeur et de l'origine d'ou nous venons), le therapeute implicitement nous amène à effleurer cette question.. tout est dit dans un silence mais plein

vibrazionecosmica a écrit :Selon toi il s'agit donc du positionnement juste du thérapeute qui permet aux entités de continuer leur chemin
même si le thérapeute n'en est pas conscient ?
c'est la relation entre ces 2 éléments ma question de base

Je ne suis pas encore thérapeute, mais il me semble en effet, que c'est la conscience des phénomènes dont nous venons de parler qui doit (devrait) guider son action. Et partant, se dire que la présence d'entités est révélatrice du parcours de l'individu (ceci sans aucune notion de jugement) et que par la prise de conscience et la demande de celui qui consulte, celles-ci s'en iront d'elles-mêmes lorsqu'elles n'auront plus de raison d'être.

Le thérapeute étant là pour "accoucher" le consultant lequel pourra connecter ses parts divines et créer en lui les moyens de surmonter son mal-être.
En quelque sorte, la démarche d'aller consulter, donc de vouloir guérir, fait appel à certains aspects de soi-même qui sont ignorés ou refoulés à l'état conscient.
Mais le thérapeute inspiré devrait le savoir.

J'ai peur de faire des redondances. J'espère avoir pu préciser un peu mieux.

Bonjour à tous,

Lors d'une "séance", beaucoup de choses peuvent survenir.
Si l'entité est visualisée, localisée, alors je pense que c'est le moment pour tous de la libération.
Mais, tout dépend de l'entité, de son rôle, et de l'affect du consultant. Je m'explique.
Nous ne pouvons pas "travailler" de la même façon avec une personne récemment en deuil qu'avec une personne parasitée par une entité de polarité négative.
Dans le premier cas, c'est souvent un accompagnement dans le processus de deuil. Lorsque le consultant se sentira prêt par acte d'Amour à se libérer et à libérer l'Autre, alors l'action sera possible. Le processus est parfois long. L'important, selon moi, étant d'aller au rythme du consultant et toujours dans l'Amour.
Pour les entités de polarité négative qui parasitent, je pense que plus elles sont retirées tôt, plus les consultants peuvent avancer sans entraves, constater une disparition des symptômes, retrouver une confiance et une vision plus claire. Effectivement, elles ont leurs raisons d'être. Il est important de connaître ces raisons, de les comprendre, de faire un cheminement personnel pour s'en libérer définitivement et de ce fait, avancer plus sereinement sur le chemin.
Entendons nous bien, le consultant peut tout aussi bien être un thérapeute! Il me semble plus gênant qu'un thérapeute soit parasité car son action de soin peut en être entravée ou rendue plus difficile. Et, surtout n'y prenant pas garde, ce serait malheureux qu'un consultant reparte avec quelque chose en plus non souhaité venant du thérapeute! Alors oui, dans ce sens, le thérapeute se doit d'être au clair avec ce qu'il fait, qui il est.¨
Parcontre, avons nous conscience de tout ce qui se passe? Je dirais non. Et c'est peut-être très bien. Pourquoi vouloir tout comprendre, tout mentaliser?
Il m'est arrivé de "travailler" sur des douleurs dorsales et me retrouver en fin de séance en face d'une personne qui avait débloqué des cadenas d'une toute autre profondeur. Ne connaissant pas ce problème, je n'ai pas conciemment "travaillé" dessus. Or, le résultat est là. Surprenant, mais il est là. Le travail s'est donc effectué sur différents niveaux.
Nous ne sommes que canaux. La Vie sait, faisons lui confiance...
Enfin, je suis bien petite et c'est une vision du haut de ma fenêtre...

Amour à vous tous.

Merci pour ta réponse Yquem