Re: Evolution spirituelle et enfants
Posté : lun. 4 oct. 2010 12:05
Merci à AOR pour ce texte de Khalil GIBRAN que je ne connaissais pas , il est vraiment magnifique .
Pour une spiritualité ancrée dans la matière, dans l'action et la coévolution
https://www.esprit-de-la-nature.fr/geobiologie/
https://www.esprit-de-la-nature.fr/geobiologie/viewtopic.php?t=938
Certains ont une vision "multi point de vue" des plus intéressanteQui tente l'expérience avec un troll? Ahahah
Il n'y a pas d'erreur dans ce que tu exprimes...pour moi, c'est juste.Rabiola a écrit :Merci pour vos avis et pour rectifier mes éventuelles erreurs ci-dessus.
J'ai envie de répondre que, d'après ce que j'observe dans le quotidien c'est un doux rêve...en même temps le fait d'aimer ses enfants inconditionnellement est tellement facile.Rabiola a écrit :Je crois que c’est Cernus (ou JP ?) qui a dit qu’il fallait replacer l’enfant et l’ado à sa juste valeur, leur accorder la place qui est la leur avec les devoirs et les possibilités qui leur sont dûs, ni plus ni moins, et aux parents de conserver et appliquer les règles qui leur incombent.
Mais l’amour des parents est prédominant et devrait dissoudre tout problème « secondaire ».
C’est ce que je pense. Est-ce une utopie ?
OuiQue sont tous ces ados, fin bourrés ou/et drogués? agressifs parce que malheureux...et il y en a tant dans les collèges et les lycées...si si plus qu'on ne le croit!
OuiBien sûr il y a un constat (pas un jugement) « d’échec » devant « l’apparent » désenchantement des ados en ce moment et nous sommes « tristes » ou désemparés devant leurs problèmes et pourtant personnellement je suis résolument optimiste.
Oui optimiste car je pense qu’il y a de plus en plus de gens « éveillés » à la spiritualité et au bien-être de soi et des autres. Il y a de plus en plus de jeunes parents éveillés qui ont et élèvent des enfants en pleine conscience. Optimiste car convaincue que chacun mène ses expérimentations de la vie comme il est juste pour lui de l’acquérir, même au plus bas de soi, même dans la douleur car il n’y a pas d’échec, ni de dévaluation, ni de jugement (en tous cas de la part de la Source elle-même)