Géobiologie quantique coévolutionet perceptions subtiles

Le plaisir est pour moi la route que j'aime suivre. Plaisir et joie que l'on peut ressentir dans le corps, si c'est présent en faisant ceci ou cela, alors pour moi, pas de doute, c'est la voie à suivre. Je parle de cette joie que l'on peux ressentir parfois dans l'ensemble du corps, pas du plaisir que procure un carré de chocolat...
Si cette joie est là, aucune culpabilité à avoir...
Bisous!
Manu

Merci Cher Manu pour ton témoignage optimiste et plein de confiance dans le Vivre!
Un pur bonheur!

Hollora a écrit :Ne rien faire dans le sens de ne pas agir pour s’améliorer et aussi ne pas interagir avec l’extérieur ou les gens .

ex: Ne rien chercher pour aller mieux, ne rien faire, pas d'exercices ,pas de pensées positives ,pas meditation , ne pas faire attention a ce qu'on mange etc..

Ah oui et pour aller plus loin: rester chez soi enfermé par exemple ça c'est ne rien faire, rester immobile et pour reprendre tes mots: ne pas vivre ce que la vie nous offre, le refuser , s'isoler s'enfermer.
est ce aussi une expérience selon toi?

A partir du moment où l’on anime un corps physique sur ce plan matériel, on est dans l’expérience (de la matière), sinon on serait mort sur ce plan car on n’aurait plus « l’interface » avec ce plan qu’est le corps physique.
Donc pour moi, chaque micro seconde vécue est expérience,
Et l’on peut donc vivre des expériences sans en avoir conscience.
A partir de là, peut-on considérer que l’on puisse arriver à « ne rien faire » (du tout) , cela semble difficile.
Donc, tout comportement, même inconscient est du « faire » !
Prendre le contre-pied du « faire » que l’on pourrait qualifier de « non faire » ou de « ne pas faire », éventuellement au sens de Castanéda, histoire de rompre avec les habitudes et obliger ainsi le mental à lâcher prise peut-il être encore considérer comme du faire ?
Alors, oui Hollora, tout ce que tu évoques au dessus est pour moi expérience.
Mais j’ajouterai ceci, en dehors de tout jugement :
Je crois que le corps dont on dispose, l’interface avec ce plan physique, a été façonné en fonction de ce que nous avons à vivre, il nous a été en quelque sorte « prêté », et donc par conséquent, en tant que « bel outil » d’expérimentation, nous avons le devoir sacré d’en prendre soin et de le conduire le plus loin possible, par une hygiène de vie, physique, mentale.
Alors, pourquoi tourmenter ce bel outil et ce mental ?
Pourquoi les utiliser à l’extrème jusqu’à la limite de rupture ?
Quel est le féminin de « hermite » ou de « misanthrope », je ne sais pas !
Je ne peux imaginer une femme hermitesse ou misanthropesse (cela sonne mal !).
Je dirais à la personne qui a le comportement que tu décris ;
« Sors, vois du monde, vas dans le nature, si tu as à peu prés la santé, les expériences douloureuses arrivent suffisamment rapidement sans qu’on le souhaite et il serait alors dommage de se dire à ce moment là :
« J’étais heureuse et ……………..je ne le savais pas ! » »
Hollora, prends soin de toi.
Bisous.

Si je peux ajouter mon expérience de grande "culpabiliseuse" à cette discussion...
Quand je fais quelque chose par intuition je ne culpabilise pas, quand mon mental s'en mêle, alors là c'est autre chose: mes conditionnements/croyances mènent la danse et c'est là que la culpabilité arrive. Il y a télescopage: "J'ai envie de faire ça, mêêê je ne devrais pas parce que.... bla bla bla".

C'est comme un chewing-gum sous la chaussure, j'ai aussi beaucoup de mal à m'en défaire, la bougresse , quand elle est là je la regarde, je la ressens comme je le fais avec une émotion et je la laisse me traverser.

Je pense que la spiritualité n'est pas un but, seulement un passage pour prendre conscience qu'il existe autre chose (la conscience) et d'avoir un regard plus global, plus élevé sur notre vie (un corps + un esprit)....
Je vois la culpabilité comme la face "inférieure" de la spiritualité, le truc" je ne mérite pas" (de vivre, de profiter) puisque tout est double, polarisé de notre point de vue et expérience donc en explorant notre part spirituelle, de fait, on expérimente aussi la culpabilité. Autrement dit, quelqu'un qui culpabilise touche sa partie spirituelle par le côté sombre...

Merci Manu, oui la joie, le plaisir à faire quelque chose je peux le reconnaitre .

Mais c'est mon mental rabat-joie; tiens, c'est comme ça que je devrais l'appeler: la rabat-joie qui quand je fais quelque chose ou ne le fait pas me dit: "oui mais.. si tu fais si ou ça, ou que tu penses ceci ou cela, "ils" ont dit que c’était pas bien lol

Merci Cactus ,
ok c'est une experience, ( et tu disais que l'experience est toujours un succès! ) alors il n'y a pas à culpabiliser de ne rien faire de ne pas utiliser ce corps qu'on nous a prêter ou de le malmener .

Selon tes propos, je pourrais ressentir de la culpabilité à ne pas faire honneur à ce corps et aux expériences( tu as dit: nous avons le devoir sacré d’en prendre soin et de le conduire le plus loin possible, par une hygiène de vie, physique, mentale.Alors, pourquoi tourmenter ce bel outil et ce mental ?)

Je ne souhaite pas torturer mon corps ou esprit je voulais juste démontrer que la culpabilité est partout ... difficile de la fuir..

Merci Corinne Je te rejoins sur le coté mental qui vient se meler de tout. ex: j'ai envie de manger ces myrtilles oui mais elles ne sont pas bio et plein de pesticide... tiens je resterais bien au chaud sous la couette; oui mais tu fais ta feniasse tu prends pas soin de ton corps, tiens j'ai envie d'acheter un sac à main, oui mais il est en cuir tu participes à la souffrance animale, tiens j'ai envie de raler car j'ai trop de chose à faire, oui mais tu vas t’énerver sur qqn et il ne faut pas , tiens j'ai envie bref....lol une montagne de croyance qui freine les élans de vie et qui culpabilise...

merci pour tes conseils

Bonjour,

Merci à tous,
Hollora, Corinne,Thomas, Manu.(Pardon si j'ai oublié quelqu'un!)
Manu, tu es hors jeu, je te connais (un peu!..... Peut-être un peu plus )!
Thomas, pas assez!

Hollora (Angélique), Corinne, j'ai envie de vous dire:
"Vous êtes super, les filles, comme vous êtes, ne changez rien!"
(Et pour la culpabilité, n'en ayez rien à "cirer"!)
Bisous

Merci à toi aussi Cactus

Pourquoi ton pseudo c'est Cactus?parce que dans la vie il y a des cactus et que tu te piques de le savoir ?
c'est quoi ton prénom ?
bisous

Et love à la culpabilité lol ( je voulais dire merde mais love c plus jolie!)

Hollora a écrit : Pourquoi ton pseudo c'est Cactus?

Cactus parce que tout simplement un cactus monstruosus mexicanus m’a accompagné des années durant (et m’accompagne toujours mais sur ma terrasse maintenant) en étant à côté de moi ou plutôt à côté de l’écran cathodique de mon ordinateur à l’époque (il était sensé neutraliser la haute tension générée par l’écran).
Mais à l’usage, je trouve que Cactus me convient bien.
Un cactus vit dans un milieu aride et en solitaire.
Il ne demande pas grand-chose pour vivre.
On ne recherche pas la présence d’un cactus, en plus c’est dangereux, il pique !
Illustration parfaite de l’adage :
« Pour vivre heureux, vivons cachés ! (vivons cactés ?)»

Hollora a écrit : c'est quoi ton prénom ?

Quant à mon prénom, à la limite, je dirais, qu’importe !
Que l’on m’appelle Pierre, Paul, Jean, machin, trucmuche ou personne, quelle importance ?
Ce nom n’est valable que pour cette « instance » de vie et je ne connais pas mon nom « cosmique », (comique ?), ils m’ont fait un lavage de cerveau juste avant ma naissance…..
Mais bon ! Puisque c’est toi, je ne peux rien te refuser, alors je vais faire une exception.

En breton, ce serait Alan.
Alun en indo-européen
Si l’on considère l’origine celtique, le nom viendrait du gallois et signifierait cerf, faon.
Ou bien encore, le nom des envahisseurs (barbares ?) venus du Caucase vers le Vème siècle.
Dans la mythologie, j’aurais pu être le demi frère de Diomède (fils de Tydée et de Deïphyle),
Elémentaire, non ?

D’ailleurs, peut-être devrais-je culpabiliser de m’appeler ainsi ?

Et toi Angélique, tu n’as pas fait de retour sur ta quête des lieux énergétiques de l’été dernier (Bugarach, etc.).
Tu culpabilises de ne pas les avoir trouvés ou l’inverse ?
Bisous.

Une belle synchronicité avec ce sujet qui est pour moi au cœur du moment et la clé pour accéder à notre enfant intérieur.

Si on se contente de voir la spiritualité comme un simple rappel de ce qu'on est vraiment, notre voyage ici-maintenant commence par notre enfance : notre innocence, notre joie et notre créativité qui sont donc aussi ce qu'on est vraiment. Mais c'est aussi notre état vulnérable et crédule d'enfant. On fait totalement confiance à nos parents qui nous transmettent leur vision d'amour limitée par leur propre enfance. Et avant même de devenir adulte, on reçoit des empreintes émotionnelles qui vont influencer notre vie mais sur un mode inconscient : on ressent la peur, la colère et la tristesse mais on s'y identifié et on les combat mentalement en suivant un programme inconscient selon comment on a perçu nos parents combattre leurs inconforts. Et on perd notre conscience d'inno-sens, notre capacité de sentir intérieurement. On est incapable de voir que l'inconfort est juste une incarnation de nos empreintes et on devient adulte avec un enfant à qui on a tourné le dos mais qui est toujours là et qui voit tout ce qu'on fait mais devient vite impuissant car on lui confie inconsciemment toute la charge de notre vie tout en se racontant des histoires pour se sentir bien et surtout ignorer l'existence de cet enfant. On n'est pas en charge de notre vie, on réagit systématiquement à nos inconforts en tentant de les neutraliser ou contrôler, on manipule notre attention pour s'éloigner de notre enfant intérieur. Et en réagissant comme ça on voit nos défauts se manifester. Comme on s'identifie à nos défauts on ressent de la culpabilité qui est un inconfort encore plus fort que nos empreintes. Si on choisit à nouveau de le combattre on tombe dans la souffrance.

C'est là où ça devient une clé car dès lors qu'on se rappelle qu'on est innocent et qu'on ouvre nos bras à nos inconforts pour y voir notre enfant intérieur en difficulté qui demande de l'aide et qu'on se met à le réconforter sans manipuler quoique ce soit, on établit une connexion énergétique entre notre adulte intérieur et notre enfant intérieur. Si l'on persévère (et il le faut car l'enfant a été négligé pendant très longtemps), on retrouve nos capacités de parents, père guide et mère nourricière pleins de compassion pour leur enfant et en même temps on retrouve cet enfant joyeux et créatif qui peut enfin grandir de nouveau. Donner intérieurement réconfort à son enfant intérieur le ramène dans l'instant présent. La culpabilité ne peut se manifester que si on continue de tenter de manipuler notre attention.

Bonjour Cactus alias Alan alun ou Alain?
Merci pour ta réponse et ta confiance
Passe le bonjour à ton cactus qui t'accompagne
J'en ai plusieurs au boulot mais je suis pas douée ils sont entrain de mourir...meme les plantes de chez moi je sais pas trop en prendre soin... zut...lol je commence à culpabliser mais non allez j'accepte cette part de moi , je fais de mon mieux

Tres sympa bugarch et sa région, j'ai adoré et j'y retournerais certainement. c'etait tres beau et que j'y ai rencontré des personnes intéressantes et deux ou trois endroits qui m'ontbeaucoup touchés je ne sais pas dire ce que j'ai ressenti en terme de présence ou autres énergies .
En tout cas quand je suis repartie j'ai du m’arrêter en route je n'etais pas bien et je suis tombé sur un coin charmand de foret et j'ai bien pleuré en entourant un arbre je leur ai demandé de m'aider et ça m'a fait du bien là je pense que c’était pas mon mental .
bref à refaire

Bonjour Omanoe
merci pour ton message, oui la culpabilité et plus "dure" que les autres inconforts dont on cherche à s'eloigner .
En effet accepter d’être innocent ça me parle, s'accepter tel que l'on est . s'aimer quoiq'uil se passe ou non

Merci Omanoe !

Hollora a écrit : Passe le bonjour à ton cactus qui t'accompagne

Tres sympa bugarch et sa région, j'ai adoré et j'y retournerais certainement. c'etait tres beau et que j'y ai rencontré des personnes intéressantes et deux ou trois endroits qui m'ontbeaucoup touchés je ne sais pas dire ce que j'ai ressenti en terme de présence ou autres énergies .
En tout cas quand je suis repartie j'ai du m’arrêter en route je n'etais pas bien et je suis tombé sur un coin charmand de foret et j'ai bien pleuré en entourant un arbre je leur ai demandé de m'aider et ça m'a fait du bien là je pense que c’était pas mon mental .
bref à refaire

Merci Hollora, mon Cactus, de son nom Géronimo, a été très touché par ton bonjour et à son tour, t’adresse ses meilleures salutations qui ne manquent pas de …piquant!


Comme quoi, ceci démontre qu’il vaut mieux sortir, rencontrer des gens, la nature, que de rester reclus dans un appartement.
Il est assez rare de rencontrer une forêt dans le séjour !