J'ai chopé un article sur le site de France Info à propos de la réticence de certains médecins à préscrire certains vaccins en France :
Certains généralistes refusent de proposer des vaccins qui ont fait l'objet de polémiques. C’est ce que révèle une étude réalisée en collaboration avec l'INSERM auprès de 1.500 généralistes français.
Les vaccins sont de moins en moins appréciés. Un sondage de l'Institut Ispsos, estimait récemment que seulement 70% des Français leur font confiance. Il semblerait que cette tendance pèse sur les médecins généralistes.
Certains praticiens sceptiques
Une étude réalisée par une équipe de chercheurs en collaboration avec l’INSERM révèle que les polémiques autour des vaccins leur font changer d’attitude. La très grande majorité d'entre eux fait confiance au Ministère de la santé et aux agences sanitaires pour obtenir des informations sur les bénéfices et les risques des vaccins. Malgré cela, certains généralistes ne souhaitent pas proposer des vaccins qui ont fait l'objet de polémiques.
80 % d’entre eux recommandent la vaccination contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Mais cette proportion tombe à 57 % quand il s'agit de vacciner contre les infections à méningocoques de type C alors que ce vaccin est inscrit au calendrier vaccinal. "Les médecins partagent jusqu’à un certain niveau, les inquiétudes de leurs patients", souligne Pierre Verger, médecin épidémiologiste à Marseille et responsable de cette étude.
« Il faut faire tout un travail de formation avec les médecins » Pierre Verger, médecin épidémiologiste
Des vaccins dangereux ou inutiles ?
Les effets secondaires inquiètent des médecins, même lorsque les doutes ont été levés en regardant les résultats de pharmacovogilance ou des études épidémiologiques. Par exemple, le vaccin contre l'hépatite B, contre le papillomavirus ou la présence d'adjuvants provoquent la méfiance de certains praticiens.
Un quart des médecins généralistes considèrent que certains vaccins pourtant recommandés par les pouvoirs publics sont inutiles. 20 % estiment même que les enfants sont vaccinés contre trop de maladies.
Et du coup, ils sont moins enclins à promouvoir certaines vaccinations. Autre point : les généralistes estiment qu'ils ont besoin de formations et d'outils pour les aider à répondre aux patients qui hésitent à se faire vacciner.
C'est de l'info mainstream qui peut tout de même avoir son intérêt. Sachant que le sondage a été effectué par l'INSERM (Institut National de la Santé et de je ne sais plus quoi) on peut supposer que le pourcentage de médecins sceptiques peut être un peu plus élevé que les chiffres énoncés. Je ne connais pas spécialement cet institut mais bon, quand il y a "national" dans le nom, je préfère me méfier.
En tout cas, les commentaires font rage ! Certains pensent que les médocs c'est le maaaaaal (pour résumer). D'autres pensent que sans ces vaccins, on va avoir une recrudescence des virus. Tout ça semble compliqué.
Pour ma part, je pense que certains vaccins de base peuvent être utiles pour l'enfant, pour lui éviter certains "désagréments". Mais bon, après se vacciner contre tout, ça me parait un peu excessif. Peut-être que l'apparition de tous ces virus plutôt costauds vient de là. Quand le virus rencontre une trop forte opposition, il va évoluer pour ne pas mourir. Un plus gros bouclier engendre un plus gros missile (ça me rappelle quelque chose ça

). Comme quoi, qu'on regarde le spirituel ou la société en passant par la biologie, on en arrive aux mêmes conclusions... Je vous le dis, tounéketrompri ! (ou tout est clair, au choix^^)
Bonne journée
