"Evolution spirituelle"/"Developpement personnel", pourquoi?

Vous posez votre problématique et qui veut répond selon ce que cela lui renvoie.
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Pocahontas
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Merci pour tous vos messages, conseils, mots (ici et ailleurs), suggestions, éclaircissements, partages d'expériences, proposition d'échanges..

Je sais qu'on est nombreux à passer par ces phases, mais ce qui est très déroutant pour moi c'est:

- D'une part: Au plus j'arrive à atteindre des états agréables, au plus les moments où je sombre sont forts, durs et très violents émotionnellement.. ça s'empire et c'est dur à gérer..

- D'autre part: j'ai l'impression que tout le monde est ok (et moi la première) pour dire: "au moins j'en ai conscience et je sais ce vers quoi je veux aller" mais je connais très très très peu de personnes qui arrivent à y aller vraiment et à être heureux.. Du coup est ce qu'on est vraiment mieux en ayant conscience du manque et de ce vers quoi on voudrait aller si on arrive pas à l'atteindre?
Tam, j'espère que tu as raison en disant que ces pointillées peuvent devenir un trait continu.. l'image m'a bien parlé et j'espère que tu as raison..

Aujourd’hui je vais un peu mieux, mais je fonctionne tellement en "dents de scie" en ce moment, je me fais peur à moi-même dans mes pensées et mes envies parfois..

Merci encore à tous, merci de cette présence et amour sur ce forum où ça fait du bien de pouvoir s'exprimer et lire...
A bientôt,
C.
« Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde » (Gandhi)
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magnum
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Pocahontas a écrit :...que tout le monde est ok (et moi la première) pour dire: "au moins j'en ai conscience et je sais ce vers quoi je veux aller" mais je connais très très très peu de personnes qui arrivent à y aller vraiment et à être heureux...
Attention "savoir" quelque chose ne veut pas dire le "connaitre" (= naitre avec)....De plus ces "conscience et savoir de ce vers quoi on veut aller" ne sont pas forcément des choses qui aident réellement (directement) dans la quête du "bonne-heure"...
car en fait pour cela il n'y a rien à chercher... car il est tout le temps là ce "bonne-heure" juste autour de nous ici ou n'importe où et toujours à notre portée si on accepte de s'arreter de l'empecher d'entrer...

Pour ce faire, je pense que 2 choses suffisent:
-1- Question mental, pensée etc... la seule chose à intégrer est qu' il n'y a qu'une certitude sur cette basse terre: c'est que quoi qu'il en soit 'on va mourir ...
et donc à partir de là (et c'est plus facile si on est en plus amené à connaitre quelques expériences à ce sujet...).. et ben franchement on COMprend pleinement la futilité de nos "pseudo-souffrances" et même si on en s'en débarrasse pas totalement suite à ça (normalement tu parviens quand même à enlever une bonne couche) en tout cas on est en bonne voie pour enclencher desz changements profonds en ce sens....et parvient à profiter de chaque microseconde de respiration et de voir la beauté du vide comme du plein du verre plus ou moins rempli...
-2- être dans le faire qui est un acte, support,...permettant très facilement de déconnecter le mental et de démultiplier notre enthousiasme dans les possibilités fantastiques en ce bas monde (apprentissage de la simplicité notamment ... plus difficile pour moi en tout cas par des voies "spirituelles")

ces 2 points vécu avec vigueur et avec un zeste de notions des bouquins d'évolution (attention avec modération tu l'as compris)... et normalement certains engrenages grippés se mettent à se dérouiller et se (re)mettre en marche...
(désolé de ces métaphores mécaniques pas forcément poétiques) ;)

A bientot :P
... au pays des vents
with the " Finest Air "...

Même le grand et majestueux chêne, lui aussi, a tout d'abord été un gland ;)
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Three stones
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Bonjour Pocahontas,
Pour ma première intervention sur ce forum, je me risque à quelques réponse.

Tu dis bien des choses dans ton post par ou commencer ?
Pocahontas a écrit :...je ne maitrise plus rien...
...Accepter qu’on est responsable de tout ce qu’on vit, du désastre qu’on fait de sa vie...
Il me semble que tu places la barre un peu haute. N'essaie pas d'être conforme à ce que tu voudrais être ou à une image idéalisée de l'individu dans notre société. Pour les autres les choses semblent toujours plus simples...

J'ai des défauts, des travers, des perversions... oui et je les assume.

Dans un premier temps cela ne vas pas les régler, mais au moins tu seras en paix avec toi même. Accepter ses faiblesses, ses limites c'est déjà en grande partie les diluer. On ne peut se détacher de quelques chose que l'on n'a pas fait ou que partiellement achevé. Fait les chose à fond et détache toi du regards des autres, du qu'en dira t'on.

Pocahontas a écrit :Est-ce qu’à un moment donné le mental et l’égo ont pris tant de place en nous qu’on ne peux plus lutter contre, les remettre à leur juste place ?..
Il serait effectivement peut être bon de commencer par calmer la machine cérébrale, c'est surtout elle qui souffre (!). Cet outil (le cérébral) nous permet de vivre dans le monde d'abstraction que nous avons construit mais peut s'emballer. On ne calme pas le mental en lui imposant le silence, ou en tentant de le contrôler, au contraire on ne fait qu'augmenter la pression de la cocote minute. Le corps, l'esprit, le mental, l'égo ne font qu'un, l'un ne peut contrôler l'autre.
Il y a quelques premières solutions faciles à appliquer : sortir, adhérer à une association, faire du sport, de la méditation, du yoga...mais pas toute seule.
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Three stones
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Pocahontas a écrit :...je ne maitrise plus rien...
Maitrisons nous réellement quoi que ce soit ?

Un texte qui m'est venu l'année dernière :

Vers un peu plus de modestie
Devant cet immeuble en construction, trois hommes regardent l'édifice se terminer. Chacun d'eux pensants : "C'est moi qui l'ai fait"....!

L'architecte à dessiné les plans et c'est grâce à lui que cet immeuble à pris forme. Sans son dessin rien n'existerait. Le chef de chantier à dirigé ses équipes et ce sont elles qui ont monté l'édifice. Sans son travail rien n'aurait été édifié. Le commanditaire à impulsé l'idée de cette construction, c'est dans son esprit qu'elle à germé. Sans lui cet immeuble n'existerait pas.

Lequel des ces homme a-t'il réellement construit cet édifice ?

Le chef de chantier à dirigé une équipe d'une centaine de personnes, des maçons, des électriciens, des charpentiers... Sans tous ces hommes ce n'est certes pas lui qui aurait terminé le chantier. Aucun de ces ouvriers n'est indispensable, mais le travail de chacun fut nécessaire à la construction de l'édifice. Tous ces artisans ont utilisés des outils, du béton réalisés par d'autres sociétés, utilisé des camions pour véhiculer les matériaux sur place. Chacun des ces outils, comme la perceuse, ou un simple tournevis est le résultat de centaines d'heures de travail des personnes qui ont conçu, réalisé et vendu cet outil. L'infrastructure qui a permis d'acheminer tous ces matériaux sur place comme la route et les camions est aussi le fruit du travail de centaines de personnes.

Revenons à l'architecte qui à dessiné cet immeuble. Son travail n'est-il pas le fruit de celui de ses professeurs qui lui ont appris à dessiner, de ses parents qui ont financé ses études ? Ce même enseignant; qui lui a transmis cette somme de connaissances qui permettent à cet immeuble de tenir debout ? On peut remonter comme cela loin très loin, jusqu'a sa maitresse en maternelle qui lui donna feuilles et crayons pour qu'il réalise un beau dessin. Une fois terminé, il devait déjà penser, "c'est moi qui l'ai fait" sans se rendre compte qu'il a put le réaliser parce que sa maîtresse lui à tout mis dans les mains pour qu'il le réalise. Ses parents furent probablement très fiers de ce gribouillis. Ils sont eu raison de l'être, car ce petit gamin sera peut être un jour capable de dessiner un immeuble.

On peut effectivement remonter très loin, très très loin. Tous ces matériaux qui ont permis de construire cet immeuble sont issus de la terre, qui a mis des millions d'années à se construire grâce aux conditions propices de l'illumination solaire. Soleil qui est lui même né du Big-Bang...

Mais qui a donc construit cet immeuble ?

N'est-il point le fruit de millions et millions d'années d'évolutions ? De millions et millions de phénomènes, d'évolutions qui ont permis la construction de cet édifice. L'être humains n'est-il pas comme ce petit garçon devant sa feuille de dessin à qui sa maîtresse à tout donné pour qu'il puisse dessiner ?
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Three stones
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Pocahontas a écrit :Accepter qu’on est responsable de tout ce qu’on vit...
Il est vrai que l'on récolte les graines que l'on plante, mais l'on ne maitrise qu'une infime partie de son existence.

En rentrant le soir que rumines tu dans ta tête, tes petits moments de bonheur et de satisfaction que tu as connu dans la journée ou tes erreurs, tes échecs, les situations douloureuses ? En ruminant du noir, tu récolteras du noir. En ruminant de la lumière, tu récolteras de la vitalité.

Dans la vision occidentale l'individu et une entitée autonome vivant dans un environnement. Comment adhérer à cette vision fantaisiste ?
L'individu fait partie de son environnement, l'individu EST l'environnement. Sans environnement il n'y à pas d'individu. Si nous faisons ce que nous faisons c'est que l'environnement a tout fait pour que nous le fassions, que nous puissions le faire (voir post précédent). Nous réagissons à une loi de causalité a la fois simple et compliquée qui réagit à une autre logique que la notre.

Cela ne veut pas dire que tout est écrit. Nous avons à certains moments le choix de continuer tout droit ou de prendre un aiguillage à droite ou à gauche. Ce libre arbitre, infime soit' il nous permet de prendre certaines directions. C'est bien la seule chose que nous maitrisions dans notre existence.

Inutile d'essayer de porter toute notre existence à bout de bras ou assumer tous les malheurs du monde.
Laissez ce fardeau. C'est reposant non ?
watson
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Bonjour Pocahontas,
Je te fais part de mes trucs pour gérer mes périodes "abyssales" :
* Je chante ou je joue de la musique (je précise: je ne sais pas jouer d'un instrument, mais je fais des mélodies avec un "sansoula" ou kalimba). C'est très apaisant.
* Je prends une ou plusieurs quintessences florales de Bach. J'y vais à l'intuition pour les choisir mais tu peux également les tester au biochamp ou en radiésthésie. Cela permet de se reconnecter à son "Moi supérieur, Essence Divine, Ame, Tout ..." Peut importe le nom que tu lui donnes, le résultat est là (quand tu as trouvé la quintessence qui te convient, tu te sens ré-unifiée). Un petit plus intéressant, la quintessence peut te donner des indications sur les raisons parfois cachées de ton mal-être du moment.
* Un grand bol de Nature ! s'allonger dans l'herbe en regardant les nuages, s'adosser à un arbre, une promenade en forêt...
Bon courage ! :)
PS: un livre qui m'a bien aidé à prendre de la distance par rapport aux pensées perturbatrices de mon mental agité:
"Nouvelle Terre" de Eckhart Tollé
aurablue
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Perso, j'attends que ça passe..........et si ça passe pas, j’assomme de coup de tel mes amis clair-ressentants ^^
Descente dans la matrice ♥
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evy
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Hello Pocahontas,
Je ne sais pas si on s'est déjà rencontrée, mais ton message m'a touchée et j'ai eu envie de te répondre aussi.
Je te rassure, on passe tous par des hauts et des bas. Maintenant si les bas deviennent récurrents et qu'ils te plongent jusqu'à des envies de suicide c'est qu'il est temps de réagir ma grande. Effectivement on est responsable à 100% de notre vie, parce que nos vibrations vont attirer à nous des situations, des personnes etc. afin de vivre des expériences. On est ici pour quoi? sinon expérimenter une foule de choses afin d'évoluer, de mieux nous (re)-connaître? Alors autant vouloir expérimenter les meilleures choses possibles, des choses qui nous ferons aimer la vie. Si on pense toujours en négatif, nos vibrations vont pas voler haut, et du coup on s'attire des m...c'est aussi la logique du miroir, de la loi d'attraction.
Je pense aussi qu'il vaut mieux ne pas chercher à maîtriser, à controller les choses lorsque ça ne va pas bien, ça bouffe trop d'énergie. Plutôt se laisser aller avec le courant avec l'assurance que tout se passera au mieux pour nous, et pas culpabiliser, pleurer un bon coup et se centrer ensuite sur ce qui va bien. Je pense aussi qu'il ne faut pas se focaliser sur ce qui est manquant, mais au contraire optimiser tout ce qui fait ta force, te concentrer sur les moments où tu te sens en paix avec toi même. Juste une pensée le soir pour remercier tout ce qui a été bon pour toi dans la journée, et le matin penser à qqc d'agréable que tu souhaiterais obtenir dans ta vie, quoi que ce soit... il faut rêver, tout est possible.

L'idée c'est aussi de trouver ce qui dans ta vie te nourrit, ce qui t'amuse, ce qui ravis ton âme. Je suis sûr qu'en y réfléchissant, tu diras mais oui, j'ai toujours voulu faire ça...genre cours de cuisine, de salsa, de poterie, de peinture, d'aromathérapie, de chamanisme...bref, qqc qui rendra ta vie savoureuse, qui la fera pétiller.

Parfois se faire aider par un professionnel permet d'avoir un appui temporaire, afin aussi de ne pas toujours confier notre souffrance à nos amis, notre famille, et avoir ainsi un espace de détente avec eux. Parfois nos amis compatissent un peu trop et pleurent avec nous, genre "c'est trop triste ce qui t'arrive", parfois on a besoin qu'on nous secoue un peu, en douceur, car toi seule peut créer ta vie et en faire un magnifique jardin. Mais effectivement parfois on a besoin d'un coup de pouce. Le travail avec les doubles peut aussi être intéressant.

On est tous en chemin, et c'est difficile pour tout le monde, mais soit à chaques instants confiante et choisi toujours le plus haut potentiel pour toi. On a un pannel à disposition, pourquoi activer le pire? Laisse toi guider par ta flamme divine, celle que tu ressens qd tu es dans la nature et en paix avec toi même, laisse-la aussi s'exprimer qd tu es dans la vie quotidienne, sous le stress ou sous le coup d'une mauvaise nouvelle. Parfois c'est un mal pour un bien, on ne s'en apperçois pas tout de suite, on a besoin de prendre du recul, le nez collé au tableau on ne voit pas le paysage.

Je pense aussi que si on s'attire des situations similaires, mais toujours plus difficiles c'est pour nous faire comprendre qqc et vraiment dépasser ce shéma. Genre ah t'as pas compris, ben j'en remets une couche...mais je sais ça fais peur de voir ses parties sombres. Mais sans aller les contacter, comment savoir à quelle point la lumière peut être belle?

Bon j'arrête là le roman, je te dis tout cela mais je suis moi aussi sur le chemin, et c'est pas toujours facile non plus, j'ai quelques outils à disposition que j'ai voulu partager avec toi en toute humilité. Le plus important de ce message, décide aujourd'hui ce que tu veux dans ta vie, les plus folle enives même, et active les dans ta vie, je suis persuadée que nous avons le pouvoir de créer notre vie. Je te fais un gros câlin, parce que ça ça fais toujours du bien, et suis à dispo aussi si tu souhaite causer.
Evy.
Naître à son être et renaître à la lumière
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Pocahontas
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Bonjour,

Merci à tous pour ces réponses et conseils..

En fait ce qui m’inquiète et attriste c’est que j’ai déjà essayé/mis en application la plupart de vos propositions et conseils.. et de savoir que c’est Juste, que ça fonctionne… mais que même si ça aide bien régulièrement, ça n’empêche pas les moments de profond désespoir comme la semaine dernière… (chez moi en tout cas..et pour l'instant...)

Magnum, quand je dis « avoir conscience de ce vers quoi on veut aller » je ne parle pas d’éléments précis, mais plutôt d’un état de bien-être que j’atteins parfois et qui me semble « Juste » :-)
Le "faire" est en effet une "voie" qui me parle également, et c'est aussi mon état d'esprit plutôt que de lire (j'ai lu quelques livres mais je préfère être dans "l'action"..)

Three stones : En Septembre j’ai justement commencé à m’inscrire à un cours de sport (même si il est pas top, je suis à la campagne et je n’ai pas trop le choix, il est mieux que rien) + un cours de Yoga (1 ou 2 fois par semaine..).. ça m’a fait du bien en effet.. Mais c’est vrai que je me sens très fragile, la semaine dernière pour l’une ou l’autre raison j’avais moins d’activité et de suite j’ai dégringolé..

Quand je parlais de « je ne maitrise plus rien », je ne suis pas non plus dans la démarche de tout maitriser à ma vie, loin de là, j’aime les surprises et imprévus de la vie de façon générale.. mais là j’avais vraiment le sentiment que tout s'écroulais de partout sous mes pieds et d’assister à ça sans être capable de savoir quoi faire.. Sentir qu’on s’enfonce dans un sable mouvant en fait.. oui, l’image me parle bien.. C’est en ce sens que je voulais dire que je ne maitrisais plus rien du tout.. Merci pour ton texte :)

Concernant l’individu qui EST l’environnement, je partage également ton point de vue, pareil pour le libre-arbitre.. Ce que je voulais dire par « je suis responsable de ce qui m’arrive », c’est qu’à un moment donné, je sais que si ça m’arrive, c’est ce que je l’ai attirée parce qu’une part de moi en avait « besoin » pour avancer, mais que c’est très très dur à vivre là, ici et maintenant, et à en comprendre le sens.. et surtout se demander si on aurait pas pu prendre une voie plus facile (un peu se demander pourquoi on a choisi la voie compliquée alors qu’on sait qu’on prendre une voie plus simple et heureuse..)

Watson : Merci beaucoup, j’adore le Kalimba aussi, j’en joue également dès que ça ne va pas, c’est vraiment tellement chouette comme petit instrument… ! ça me transporte et me permet de lâcher le mental.. !Je l'emporte avec moi dès que je pars en balade...!
Le chant aussi, et les fleurs de Bach (choisies au biochamps.. décidément on fonctionne pareil.. !) également, pareil pour les balades en nature.. mais dans les moments vraiment « bas » j’ai parfois même du mal à trouver l’énergie ou l’envie de faire ça..
ça fait régulièrement en quelques semaines qu’on me parle d’Eckart Tollé.. je crois que je vais acheter le livre dont tu me parles car j’ai déjà retrouvé « par hasard » 2 enregistrements de lui, mais c’est marrant qu’on arrête pas de me donner son nom en ce moment.. !

Aurablueu : Ben c’est ce que j’ai fait, en espérant que ça passe ;) avec quelques coups de fils/mails aussi à quelques amis de stage :)

Evy : Je ne sais pas non plus si on se connait, je ne crois pas, sauf du regroupement « ravioli » ?.. J’ai eu la même réflexion que toi.. Allant vraiment mal j’ai décidé de vraiment bouger les choses et j’ai commencé en Septembre à voir une thérapeute (vraiment géniale, dans un état d’esprit très ouverte, très centrée sur le cœur… vraiment je ne pouvais pas mieux tomber par rapport à mon besoin..), du coup je vois quelqu’un régulièrement, et ça me fait du bien… (Mais la semaine dernière elle était en déplacement pour une semaine..)

Merci pour tous tes conseils.. Je le sais… et j’essaye d’être le plus souvent dans cet état d’esprit, mais je n’y arrive pas toujours et c’est encore pire quand on a conscience de tout ça.. Qu’en étant mal on continue d’être dans l’état d’esprit de ne pas construire, etc.. La pensée le soir de remerciement, j’essaye aussi d’en faire quelque chose de quotidien.. Je me visualise (mentalement) dans un miroir et j’envoie de l’amour, je repense aux choses chouettes qui me sont arrivées.. Mais des fois je suis tellement mal, tellement à suffoquer de douleur, que je n’y arrive même pas….. :(

Et comme tu dis, c’est important d’avoir des choses qui nous nourrissent et j’ai la chance d’en avoir en plus.. entre les dessins, les balades, la musique, etc..
Mais comme je disais dans mon précédent message, le plus déroutant est vraiment cette impression de sentir ce qui est bon (pour moi), de connaitre les choses qui me permettent de me sentir bien, d’y arriver régulièrement, d’être heureuse, d’atteindre des moments où je suis vraiment bien, posée, juste ici et maintenant, en communion avec ce qui m’entoure, satisfaite de mon état posé…et pourtant des fois de tomber tellement bas que je n’ai même pas la force de faire le minimum pour « rééquilibrer » ma vie un tout petit peu… Et ce passage de « haut/bas » « plénitude/dépression » en un très bref laps de temps…

J’espère que ça ira en s’améliorant mais je me fais un peu peur et puis sans parler de la culpabilité d’avoir l’impression que j’ai tellement de choses pour être heureuse et que je me « pourrie la vie » toute seule + que je n’ai que moi à gérer (pas d’enfants, pas de grosses contraintes, pas d’emprunt ou de choses qui peuvent « bloquer » à un endroit..) j’ai un cadre souple dans ma vie et même avec ça je patauge… !! ;)

Enfin bon, je suppose que ça sert à quelque chose tout ça et que ça me ferra sourire d’ici quelques temps.. :)

Merci encore, vos réponses m’ont touché.. <3

Bon courage à tout le monde pour ce travail sur soi…

Je vous souhaite une très belle journée,

C.
« Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde » (Gandhi)
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GeoCosmos
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Pocahontas a écrit :Evy : Je ne sais pas non plus si on se connaît, je ne crois pas, sauf du regroupement « ravioli » ?

Je me visualise (mentalement) dans un miroir et j’envoie de l’amour, je repense aux choses chouettes qui me sont arrivées..
C.
Juste pour info, Evy a fait son premier stage avec JP au printemps 2011. La boite de ravioli est périmé et avec l’évolution de la planète et de ses habitants on est tous plus ou moins pareil, dans le sens dans la même galère, mais on s’en sort tous.

Chaque événement est une source d’évolution, mais il faut en comprendre la leçon, sinon on ne le repassera pas très bien. (la spirale)
Les bons moments deviennent de bons souvenirs. Les mauvais moments deviennent de bonnes leçons.

L’amour tu l’envoies à qui ?? Dans le miroir ?? Et il te le renvoie ??
Le monde est comme un miroir. Si tu lui souris, il te sourit aussi.

Je dirai simplement aime-toi.
Fais toi plaisir.

Après tout ira mieux.
Emmène ton cœur partout où tu vas.

GeoCosmos
Modifié en dernier par GeoCosmos le sam. 22 oct. 2011 20:43, modifié 1 fois.
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