par FMU » ven. 4 mars 2011 12:45
J'ai déjà fait le carnaval de Cologne (j'ai habité là bas un an). Bon, à l'époque, je devais avoir 12 ou 13 ans, donc le côté orgiaque, j'ai pas tout suivi (quoique en y repensant, au niveau du ressenti, c'était bien présent), mais effectivement, c'est 4 jours vraiment particuliers. Le défilé des chars dans les rues n'est que la partie émergée de l'iceberg. La bière coule à flot, il n'y a plus de règles, les allemands généralement très guindés et disciplinés se lâchent complètement. À l'époque, je me disais que c'était la soupape de sécurité qui leur permettait de ne pas exploser (on dit souvent qu'en Allemagne ce qui n'est pas explicitement autorisé est interdit).
Quelque chose d'assez fascinant, une énergie de vie qui balaye la société. Le plus surprenant, c'est que le lendemain, tout rentre dans l'ordre et c'est comme si rien ne s'était passé. Après trois jours de couleurs, on repasse au noir et blanc.
J'ai déjà fait le carnaval de Cologne (j'ai habité là bas un an). Bon, à l'époque, je devais avoir 12 ou 13 ans, donc le côté orgiaque, j'ai pas tout suivi (quoique en y repensant, au niveau du ressenti, c'était bien présent), mais effectivement, c'est 4 jours vraiment particuliers. Le défilé des chars dans les rues n'est que la partie émergée de l'iceberg. La bière coule à flot, il n'y a plus de règles, les allemands généralement très guindés et disciplinés se lâchent complètement. À l'époque, je me disais que c'était la soupape de sécurité qui leur permettait de ne pas exploser (on dit souvent qu'en Allemagne ce qui n'est pas explicitement autorisé est interdit).
Quelque chose d'assez fascinant, une énergie de vie qui balaye la société. Le plus surprenant, c'est que le lendemain, tout rentre dans l'ordre et c'est comme si rien ne s'était passé. Après trois jours de couleurs, on repasse au noir et blanc.