par Manuel » sam. 16 juil. 2011 15:16
Bonjour, la dualité est une question qui m'intrigue beaucoup.
Il est vrai que de part mon expérience, j'ai pu vérifier que ce que j'avais cru négatif avait pu être au final très positif. Ainsi la dualité que je m'étais fabriqué, ou dont j'avais hérité, s'est avérée fausse.
Si chacun à sa propre notion de valeur, il n'y a pas de dualité.
Par contre et c'est ce qui m'intrigue, il y a bien une harmonie de tout, que ce soit dans la façon de s'occuper de la nature si on veut qu'elle soit fertile, de ses relations, sa famille, et surtout il y à une loi : l'amour.
La dualité m'apparait comme cette étape nécessaire, qui permet de sculpter son être intérieur.
Pour moi la plus belle carotte est notre satisfaction, notre fierté, c'est comme cela que nous évoluons, en testant ce qui nous plait. La souffrance peu être un guide nous invitant à changer nos conceptions.
Si pour des gens en quête de spiritualité le dogme "pas de dualité" peut être une aide à remettre ses valeurs en question, il m'apparait délicat de l'affirmer sans pour autant avoir été au bout de la dualité. Je ne dirais pas à un enfant en bas age qu'il n'y à pas de bien, pas de mal. Qui détermine ou nous en sommes ? Enfant, Adulte, avons nous été au bout de nos expériences avec le cœur ?
Placer un dogme replace toujours une dualité, ceux qui le suivent, ceux qui ne le suivent pas. L'amour, la haine.
Merci si vous prenez le temps de me répondre, dans tout les cas bons moments à vous.
M
Bonjour, la dualité est une question qui m'intrigue beaucoup.
Il est vrai que de part mon expérience, j'ai pu vérifier que ce que j'avais cru négatif avait pu être au final très positif. Ainsi la dualité que je m'étais fabriqué, ou dont j'avais hérité, s'est avérée fausse.
Si chacun à sa propre notion de valeur, il n'y a pas de dualité.
Par contre et c'est ce qui m'intrigue, il y a bien une harmonie de tout, que ce soit dans la façon de s'occuper de la nature si on veut qu'elle soit fertile, de ses relations, sa famille, et surtout il y à une loi : l'amour.
La dualité m'apparait comme cette étape nécessaire, qui permet de sculpter son être intérieur.
Pour moi la plus belle carotte est notre satisfaction, notre fierté, c'est comme cela que nous évoluons, en testant ce qui nous plait. La souffrance peu être un guide nous invitant à changer nos conceptions.
Si pour des gens en quête de spiritualité le dogme "pas de dualité" peut être une aide à remettre ses valeurs en question, il m'apparait délicat de l'affirmer sans pour autant avoir été au bout de la dualité. Je ne dirais pas à un enfant en bas age qu'il n'y à pas de bien, pas de mal. Qui détermine ou nous en sommes ? Enfant, Adulte, avons nous été au bout de nos expériences avec le cœur ?
Placer un dogme replace toujours une dualité, ceux qui le suivent, ceux qui ne le suivent pas. L'amour, la haine.
Merci si vous prenez le temps de me répondre, dans tout les cas bons moments à vous.
M