par léféafa » dim. 28 sept. 2014 11:25
Bonjour!
Oui c'est sûr, pas toujours facile pour moi de garder de la souplesse et de la légèreté...
Pendant longtemps j'étais dans la peur, je voulais changer mon alimentation parce que j'avais peur de la maladie.
Et depuis que je suis rentrée de mon périple de cet été (où j'ai beaucoup moins pu contrôler ce que je mangeais), je suis revenue avec une autre dynamique: manger différemment (bcp de fruits et légumes en respectant une part de cuisson douce pour mon corps qui en a (encore) besoin et une petite part de céréales ss gluten, de fromage chèvre ou brebis cru et un peu de viande, poisson oeuf, de temps en temps, plutôt cru, et des graines germées, algues, spiruline, jus de légumes frais) par ce que j'éprouve de la joie à prendre soin de mon corps, à avoir plus d'énergie.
Parce que depuis que je suis rentrée j'essaie de prendre soin de ma maison, en étant consciente que par là c'est aussi de moi et de mon nouveau cocon (je suis nouvellement maman) que je prend soin.
Et ces derniers temps j'essaie d'être à l'écoute de mon âme et je me suis dit que ça serait chouette si je prenais soin de sa maison: mon corps!
Et puis il y a l'envie d'avoir plus d'énergie pour ma nouvelle fonction de maman.
Bon je dis pas, parfois c'est encore la peur qui guide mes pas, je peux encore bien me prendre la tête! Mais j'observe mon rapport à la nourriture depuis plusieurs mois, je regarde ce que ça montre de moi, mon comportement, et c'est passionnant!
Chocobilly:
"Parfois j'ai envie de bouffer sain...
Le macdo ne me dérange pas, alors que je sais que ce n'est pas l'idéal. Je peux choisir de rejeter en block "la merde", dans mon cas je sais que c'est une partie de moi bien contrôlante qui aurait ce type de jugement extrême.
Si je rejette ce type de bouffe, dans quelle mesure vais-je rejeter ceux qui s'en nourrissent ?
Qui suis-je pour rejeter une partie de l'humanité ? "
Effectivement il y a dans ce que tu dis qq chose qui m'interpelle...
J'ai conscientisé dernièrement combien j'avais de la difficulté à m'ouvrir à mes beaux-parents, à ce qu'ils sont. Et comme de par hasard, chez eux je trouve toujours qq chose à redire (intérieurement) à ce qu'ils proposent à table, je ne suis pas dans l'ouverture de ce qu'ils offrent. Souvent je m'apporte même mes légumes! Pourtant ça n'est pas si horrible que ça: souvent c'est viande (non bio), légumes (ultra cuits), salade de pomme de terre (trop gras,( mais j'adore ça, ça me rappelle ma famille allemande)), une tourte? (y'a du gluten)... bref....
Alors qu'en d'autres circonstances, je peux manger tout ça sans me poser de questions!!!
Alors j'ai envie d'apprendre de rester à mon écoute (par exemple ne pas manger de pain ou de fromage de vache) mais j'ai aussi envie, au moins en prenant une petite quantité, d'honorer ce qu'ils me proposent.
Tout en leur posant le fait que dans ma vie quotidienne je ne souhaite plus manger de gluten et de lait de vache (je n'ose pas l'affirmer de peur de leur regard...)
Voili voilou pour mon retours !
Bon appétit !
Léa
Bonjour!
Oui c'est sûr, pas toujours facile pour moi de garder de la souplesse et de la légèreté...
Pendant longtemps j'étais dans la peur, je voulais changer mon alimentation parce que j'avais peur de la maladie.
Et depuis que je suis rentrée de mon périple de cet été (où j'ai beaucoup moins pu contrôler ce que je mangeais), je suis revenue avec une autre dynamique: manger différemment (bcp de fruits et légumes en respectant une part de cuisson douce pour mon corps qui en a (encore) besoin et une petite part de céréales ss gluten, de fromage chèvre ou brebis cru et un peu de viande, poisson oeuf, de temps en temps, plutôt cru, et des graines germées, algues, spiruline, jus de légumes frais) par ce que j'éprouve de la joie à prendre soin de mon corps, à avoir plus d'énergie.
Parce que depuis que je suis rentrée j'essaie de prendre soin de ma maison, en étant consciente que par là c'est aussi de moi et de mon nouveau cocon (je suis nouvellement maman) que je prend soin.
Et ces derniers temps j'essaie d'être à l'écoute de mon âme et je me suis dit que ça serait chouette si je prenais soin de sa maison: mon corps!
Et puis il y a l'envie d'avoir plus d'énergie pour ma nouvelle fonction de maman.
Bon je dis pas, parfois c'est encore la peur qui guide mes pas, je peux encore bien me prendre la tête! Mais j'observe mon rapport à la nourriture depuis plusieurs mois, je regarde ce que ça montre de moi, mon comportement, et c'est passionnant!
Chocobilly:
"Parfois j'ai envie de bouffer sain...
Le macdo ne me dérange pas, alors que je sais que ce n'est pas l'idéal. Je peux choisir de rejeter en block "la merde", dans mon cas je sais que c'est une partie de moi bien contrôlante qui aurait ce type de jugement extrême.
Si je rejette ce type de bouffe, dans quelle mesure vais-je rejeter ceux qui s'en nourrissent ?
Qui suis-je pour rejeter une partie de l'humanité ? "
Effectivement il y a dans ce que tu dis qq chose qui m'interpelle...
J'ai conscientisé dernièrement combien j'avais de la difficulté à m'ouvrir à mes beaux-parents, à ce qu'ils sont. Et comme de par hasard, chez eux je trouve toujours qq chose à redire (intérieurement) à ce qu'ils proposent à table, je ne suis pas dans l'ouverture de ce qu'ils offrent. Souvent je m'apporte même mes légumes! Pourtant ça n'est pas si horrible que ça: souvent c'est viande (non bio), légumes (ultra cuits), salade de pomme de terre (trop gras,( mais j'adore ça, ça me rappelle ma famille allemande)), une tourte? (y'a du gluten)... bref....
Alors qu'en d'autres circonstances, je peux manger tout ça sans me poser de questions!!!
Alors j'ai envie d'apprendre de rester à mon écoute (par exemple ne pas manger de pain ou de fromage de vache) mais j'ai aussi envie, au moins en prenant une petite quantité, d'honorer ce qu'ils me proposent.
Tout en leur posant le fait que dans ma vie quotidienne je ne souhaite plus manger de gluten et de lait de vache (je n'ose pas l'affirmer de peur de leur regard...)
Voili voilou pour mon retours !
Bon appétit !
Léa