Géobiologie quantique coévolutionet perceptions subtiles

"Historique de travail, nom masculin
Étymologie
De travailler ; du latin populaire tripaliare, ‘torturer’ ; du latin tardif tripalium, ‘instrument de torture à trois pieux’.
Remarque. — Ce n’est pas d’hier que l’on trouve le travail harassant, car à la racine des mots travail et travailler se trouve un instrument de… torture ! Le tripalium (littéralement ‘trois pieux’, en bas latin) était constitué de trois pieux fixés dans leur partie supérieure, auxquels on attachait le condamné, sous lequel était allumé un feu. Le nom travail signifiant ‘dispositif utilisé pour immobiliser les animaux’ descend directement de ce mot latin, avec une possible influence d’un mot de la famille de travée ‘espace entre deux poutres’. Cependant, dans le sens de ‘activité’, le mot dérive plutôt de son correspondant verbal travailler.
Le verbe travailler est issu du latin populaire tripaliare ‘torturer’, dérivé de tripalium. Certains de ses sens évoquent encore la torture (physique ou psychologique) : ‘rouer de coups’ (dans Le boxeur a travaillé son adversaire au corps) et ‘causer un sentiment pénible et durable’ (dans Le remords le travaillait). Cependant, de nos jours, lorsqu’on dit qu’on travaille, on pense surtout à un effort que l’on fournit en vue de produire quelque chose. Cette acception est apparue dès l’ancien français."

Voilà ce que dit le dictionnaire sur le travail.... ça me fait toujours drôle d'entendre parler de "travail sur soi" ... se torturer soi même... drôle d'idée.

Je préfère de loin la version "attention" et pour moi, qui enseigne le yoga ( un peu de pub moi aussi) je le présente justement comme un outil d'entraînement qui doit amener à porter attention à tout ce qu'on fait. Mais c'est comme aller faire une ballade, si ça devient une obligation, un "travail" on est passé à côté...

pour moi, il me semble que c'est une attention au corps dans toutes les activitées.

Que cela soit en faisant la vaiselle ou en ayant étant en usine avec un travail à la chaine, c'est plus une question d'attention que d'activitées.

Mon expérience va dans le même sens. Mais c'est difficile! Par ex, je n'arrivais à supporter ma charge de travail (8h assise derrière un ordinateur, entourée d'autres personnes faisant ce boulot) qu'en me coupant de mon corps. A partir du moment où j'ai décidé de ne plus faire cela, je suis devenue "non rentable" pour mon entreprise... Mais c'est peut-être lié à une problématique particulière, je vais détailler ça dans un autre sujet. Merci de la réponse!

Pour info je fais aussi de l'accompagnement dans ce sens

http://www.geobiologie.me/accompagnemen ... oevolution

Un peu d'info commerciale

pour moi, il me semble que c'est une attention au corps dans toutes les activitées.

Que cela soit en faisant la vaiselle ou en ayant étant en usine avec un travail à la chaine, c'est plus une question d'attention que d'activités.

Observation des sensations sans s'attacher à elles.

Une attention de tous les instants pour jouir en conscience du corps

bonne et belle journée

jean-pierre

Merci pour cette vidéo, tu nous donnes de très belles images, assez parlantes. ça rejoint mon expérience. Mais ça me renvoie aussi à une chose qui me pose problème: je ressens le besoin de faire un travail sur moi, d'ancrage et de recherche spirituelle, en continu, 24h sur 24.

Je cherche comment faire pour m'ancrer au jour le jour, pour ne pas repartir sans cesse dans ma pensée. J'ai vu divers thérapeutes qui m'ont dit que j'avais un problème d'ancrage, certains m'ont donné des petits trucs (exercices physiques, de pensées etc...) qui m'ont beaucoup aidé... quelques jours. Par ex: une série d'exercices d'assouplissement (assez proches d'exercices de yoga), et pendant un temps, faire ces exercices m'a bien aidé. Maintenant, si je me force à les faire, mon corps se bloque, mes muscles refusent le travail.

Je crois que l'ancrage va avec une évolution, une adaptation et un renouvellement au jour le jour.

Mon expérience: si je fais un travail sur moi 24h/24, je me porte bien (travail qui passe par le dessin, l'écriture, la marche, la parole et l'écoute...). Dès que j'arrête, des problèmes physiques et psychiques reprennent le dessus, un peu plus pénibles d'une fois sur l'autre. Ce travail était incompatible avec ma profession, j'ai dû démissionner.

Comment vivre dans la société des hommes quand on a ce genre de fonctionnement?

(pardon si ce message n'est pas à la bonne place, je découvre le forum )

L'ancrage est un flux

Une réflexion sur un lieu qui remet bien en lumière le fait que le processus d'ancrage est un flux, pas un travail pontuel.
Comme une respiration, vous ne pouvez respirer pour les 2 jours à venir c'est une logique de rythme. C'est aussi la contraint lié à l'incarnation au vivant, pas de choix dans ce monde ci...

Une petite vidéo pouvant aider



bonne et belle journée

jean-pierre