Géobiologie quantique coévolutionet perceptions subtiles

Les toits le montrent,

Cacher du ciel, l'infini, se réduit au un fini,

A travers la fenêtre, une seule scintille.

Tout devient émois, les autres, les "hey toi", le cœur à l'abri.



Errant sur le mont, ignorant du moi, le un peut se mettre à nu,

Le verni n'est plus, sur ses propres limites,

Nos travers sont brindilles,

L'étoile de son cœur brille du un au deux vers l'uni.

aborder l'infini intérieur avec parfois le vertige.

Finalement c'est notre coté le plus intime et qui paradoxalement est celui ou nous sommes en lien avec tous...

Bonne journée

jean-pierre

il y a quelque chose de fascinant dans les étoiles car c'est une part d'infini que je peux observer et je suis si limitée dans mon corps à la frontière de ma peau.
à l'intérieur de moi il y a un infini intérieur qui devient un fini avec ses limites
il faut accepter de retrouver ça mais il faut retrouver son coeur d'enfant pour se relier plus simplement

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bonne nuit