Géobiologie
Conférence sur le rapport
au jardin et l’agriculture en lien avec les esprits de la nature, l’énergie du lieu

du 29 mai 2014

géobiologie jardin et évolution sprituel

Un introduction sur le rapport au vivant pour mettre en conscience les liens entre humain et jardin

Pour aller plus loin, quelques autres pistes de réflexion :

Le plus important dans le fait de faire un jardin est d’obtenir des aliments en harmonie vibratoire avec vous, votre nature et la nature de votre lieu de vie.

Les informations d’évolution s’intègrent dans les végétaux (incluant celles que nous avons transmises durant les semis ou plantations), elles grandissent avec lui, et nous les retrouvons transmutées et « bio-disponibles » quand nous mangeons les végétaux à l’autre bout du cycle évolutif.

Cela n’est disponible que dans votre jardin. Acheter un légume, même biologique ne vous apportera jamais cela.

Je vous recommande, même en appartement, quand c’est possible, de faire au moins pousser quelques aromates dans une jardinière.

Cela est un amplificateur très concret dans le rapport au corps et à la jouissance, 2 heures de jardin en conscience peut remplacer des jours de thérapie…

Pour les hommes :

Le rapport au corps et à une sexualité bien incarnée est une voie pour sortir de la logique du guerrier frustré qui détruit la nature pour fuir et castrer son rapport au corps, très souvent de manière inconsciente.
Dans certain cas, la schizophrénie va jusqu’à prôner le rapport au corps en le fuyant pour soi même. Une manière de punir la mère castratrice et dominatrice qui emmène vers une négligence envers le vivant.
L’image de la mère est parfois relayée par la femme

Pour les femmes :
Le rapport à la nature est souvent mis à distance car il renvoie sur la notion de jouissance et d’interdit. Si je contacte toute ma nature, mon rapport à la graine, aux fruits, tout est purement sexuel, pas tabou juste la nature en expression.
Je reçois en miroir la croissance du végétal dans sa nature en liberté et dans son exubérance en dehors des contraintes. C’est la femme qui sort du jeu social pour simplement jouir en retirant les masques de l’égo et de la contrainte du « père dominateur et castrateur ». Passer de l’image du masculin qui contraint au masculin qui accompagne dans la réalisation des potentiels, c’est aussi le rôle du père d’ouvrir sur la jouissance du monde. Encore faut-il avoir un échantillon en stock…
Cela peut faire peur car la liberté remet en cause, entre autre, le monde bien normatif de l’éducation familiale et religieuse.
Attention à ne pas retomber dans le « mauvais » sens du matriarcat qui exclut plus au moins consciemment le masculin.

Souvent le travail de la terre et dans la matière est vu dans les milieux spirituels comme une perte de temps, un attachement au matérialisme.
Chacun son chemin de vie, un chemin dans le concret et la construction d’un monde plus en harmonie, ou une fuite de ce monde et de sa responsabilité pour de l’illusion d’une unité hypothétique avec un désert stérile autour de soi.

Vous êtes en ville et le jardin est impossible pour vous, tout est perdu alors ?

Non, il est possible de contacter le rapport aux énergies de base par le rapport aux autres humains en levant les masques pour contacter la nature de l’humain et passer de la rencontre sociale au « jardin de lien » cela fera l’objet d’un autre article et peut être d’une autre soirée conférence.